J’ai eu le plaisir d’interviewer Olivier Andrieu le pape du référencement !
Olivier est un des grands noms du référencement, il a commencé le référencement naturel avant même que Google n’existe et son site abondance.com est la référence francophone pour tout ce qui touche à l’actualité du SEO.
Avant de débuter votre lecture, si vous souhaitez améliorer le SEO de votre boutique en ligne, téléchargez gratuitement notre livre blanc seo.
Voici ma dernière interview d’Olivier Andrieu, pour la sortie de son livre « Le seo en 500 questions ».
Si vous voulez en savoir plus sur le SEO, comment référencer votre boutique en ligne ou tout simplement mieux connaître Olivier Andrieu et ses livres cet interview devrait vous plaire :)
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Dans cet interview vous découvrirez:
- Qui est Olivier Andrieu ?
- Abondance.com le portail de référencement sur l’actualité du SEO.
- Les conseils d’Olivier pour référencer sa boutique en ligne ?
- Comment obtenir des liens vers son site ecommerce ?
- Trois erreurs fréquentes (et grave) à éviter pour le référencement d’un site ecommerce.
- Acheter une formation SEO est-ce rentable ?
- Les livres sur le référencement d’Olivier Andrieu
- Comment utiliser les deux livres ?
Qui est Olivier Andrieu ?
Olivier Clémence. Bonjour. Ici Olivier Clémence du blog reussir-mon-ecommerce.fr. Aujourd’hui je suis avec Olivier Andrieu.
Je suis particulièrement content de faire cette interview parce qu’Olivier m’a appris beaucoup de choses en référencement, j’ai un peu démarré le référencement grâce à Olivier.
Olivier, est-ce que tu peux te présenter pour les gens qui ne te connaissent pas encore ?
Olivier Andrieu. Je m’appelle Olivier Andrieu, je suis consultant SEO, basé en Alsace dans un petit village sur la route des vins. La société Abondance, que j’ai créée en avril 96. Je faisais déjà du référencement avant mais pas officiellement.
J’en fais depuis 22 ans avec beaucoup d’audits SEO de sites, des formations et puis des sites Web comme Abondance et autres et puis des bouquins, des formations en ligne, beaucoup de diffusion d’informations sur le SEO pour répandre, le plus possible, la bonne parole dans ce domaine.
Le pape du référencement.
Olivier Clémence. C’est amusant que tu dises répandre la bonne parole parce que tu as un petit surnom, je ne sais pas si tu l’apprécies ou pas, mais sur les réseaux sociaux on t’appelle « le pape du référencement », c’est un truc qui vient de toi au départ ?
Olivier Andrieu. Pas du tout. Jamais je n’oserais m’appeler comme ça. Je pense que les gens aiment bien, beaucoup de gens me disent qu’ils ont appris leur métier ou les bases de leur métier au travers de mes livres ou de mes sites donc je pense que le côté pape, c’est le côté un peu protecteur, sage, vieux sage parce qu’en règle générale les papes ne sont pas tout jeunes.
Comme on dit que mon bouquin est la bible du référencement peut-être que ça vient de là, je n’en sais rien. Il y a beaucoup d’allusions à la religion quand on parle de moi, ça me fait un peu peur parfois mais je trouve ça plutôt sympa, c’est plutôt rigolo.
Olivier Clémence. Après, il est quand même assez sympa comme pseudo. Ce qui est aussi intéressant de relever, c’est que tu as commencé le référencement avant même que Google soit présent ?
Plus de 25 ans d’expérience en SEO
Olivier Andrieu. Oui. J’ai commencé le référencement avec le Web parce qu’au début des années 90, le Web est arrivé, je venais du domaine du Minitel donc finalement le Web était une transition assez logique du Minitel vers le Web donc tout de suite je me suis intéressé à ça, au langage HTML, etc.
Tout de suite et j’ai essayé de regarder comment classer, comment essayer de chercher l’information sur le Web parce que c’était quelque chose d’assez incontournable. À l’époque, il y avait des annuaires, Yahoo, open directory et puis les premiers moteurs. Les premiers moteurs, c’était Lycos, Web Crawler qui, je crois, était vraiment le premier moteur.
AltaVista est arrivé en 95 et en fait Google n’est arrivé qu’en 98, ça faisait déjà pas mal de temps que je faisais du référencement. Le métier s’est adapté au moteur Google qui a quand même marqué un grand changement dans le métier puisque c’était vraiment le premier vrai moteur de recherche pertinent, post AltaVista.
O.C. Les choses ont bien évolué depuis et c’est aussi pour ça que tu es réputé dans la sphère du SEO parce que sur ton site Abondance, on peut justement facilement suivre, tu te tiens très à jour de tout ce qui est évolution des moteurs de recherche et c’est un bon moyen de se tenir au courant.
Abondance.com le portail de référence sur l’actualité du SEO.
O.A. Je fais deux heures de veille chaque jour. Je travaille chez moi donc je suis au bureau assez tôt le matin, à sept heures du matin et de sept heures à neuf heures, je fais ma veille, j’essaie de voir ce qui s’est passé, les tests que j’ai pu faire, lire la presse, souvent anglo-saxonne, sur ce qui s’est passé.
Je me dis que tant qu’à faire une veille, autant que tout le monde en profite donc si j’ai vu quelque chose de pertinent et intéressant, en règle générale c’est le cas tous les jours, je fais un article sur Abondance.
Ça peut être de l’information sur Google, il peut y avoir des infographies, j’essaie de faire des vidéos maintenant, une vidéo par semaine, j’en ai fait plus de 80 et les gens semblent bien apprécier les vidéos mais c’est un autre format, un autre canal de diffusion, tu en sais quelque chose puisqu’on est en vidéo aujourd’hui.
C’est une autre notre façon de faire passer des messages ou des informations, j’aime beaucoup ça. J’ai longtemps hésité à faire des vidéos parce que je me disais que les gens n’en ont rien à faire de voir ma tête pour dire des trucs et en fait, ce n’est pas le fait de voir ma tête mais il y a des slides, un certain nombre d’informations.
En fait, c’est très intéressant à faire et j’essaie de faire en sorte que ce soit très informatif. J’ai un peu découvert les vidéos depuis l’année dernière et j’en suis très content.
O.C. D’ailleurs j’invite tous ceux qui veulent se former au SEO à aller voir ta chaîne parce que je la suis et du fait de ton expérience, du fait que tu aies écrit des livres, tu arrives à faire des vidéos qui sont assez condensées, on ne va pas aller dans des vidéos de 45 minutes ou une heure, elles sont assez courtes et tu délivres super bien l’information.
Tu décortiques bien les choses, on a un sujet et c’est clairement expliqué, je trouve que c’est très didactique et tes vidéos sont vraiment efficaces.
O.A. Merci. Comme je fais beaucoup de formations, beaucoup de conférences et que je reçois beaucoup de mails parce que justement j’essaie de diffuser le plus possible d’informations, on me pose plein de questions et en fait quand je commence à voir qu’il y a des questions qui reviennent très souvent, je fais une vidéo comme ça les gens ont les réponses directement.
C’est vraiment pour répondre aux questions les plus souvent posées par les gens que ce soit dans les formations, les conférences ou numériques, les réseaux sociaux dans les commentaires des articles. Il y a vraiment plein de retours d’expérience, de questions qui arrivent.
Le but est vraiment de répondre aux questions des gens.
Les conseils d’Olivier Andrieu pour référencer sa boutique en ligne ?
O.C. Ça tombe bien, c’est une bonne transition avec la question que je voulais te poser. Moi, les personnes qui me suivent sont essentiellement des e-commerçants et je voulais te demander, si tu te mettais à la place d’un commerçant qui se lance et qui n’a pas forcément énormément de moyens, qui veut peut-être faire un peu les choses par lui-même sans forcément dépenser énormément d’argent, qu’est-ce que tu lui conseillerais de commencer à faire pour justement ressortir un peu sur le moteur de recherche et obtenir un peu de trafic ?
O.A. C’est une bonne question. Je pense que le maître mot du SEO, c’est la qualité mais c’est vraiment important. Chronologiquement, j’essaierais déjà de faire en sorte que mon site, alors imaginons que je vais me lancer, le site n’est pas encore en ligne, le premier truc à faire est d’avoir un site qui est vraiment techniquement Google friendly.
Il y a des balises, l’information se trouve assez facilement aujourd’hui il y a des balises à mettre en place, il y a des zones chaudes dans les pages, des façons de faire les sites qui sont importantes et qui sont Google friendly, qui vont faire en sorte que le site sera réactif par rapport aux critères de pertinence de Google.
On pourra en reparler tout à l’heure. L’idée, c’est d’abord la technique. Il faut que le site soit réactif, bien fait, conçu pour Google. Pour l’internaute évidemment, c’est logique mais aussi pour Google. La partie technique est un prérequis. Normalement on commence par ça et on voit la suite après.
Il faut que le site, techniquement, ait été mis en place et bien fait et il y a le contenu. Le contenu éditorial, notamment sur une boutique, c’est important.
Il y a trois endroits où le contenu est important.
La page d’accueil, sur la page d’accueil il faut expliquer ce que l’on fait. Souvent, sur la page d’accueil, on met des produits, un certain nombre de choses, du contenu très volatile très éphémère. C’est bien, il faut le faire mais il faut aussi qu’il y ait du contenu fixe dans le temps.
Il faut que quand Google lit la page d’accueil aujourd’hui, il comprenne ce que vous vendez et quand il lit la page d’accueil dans un mois, il faut qu’il ait le texte qui lui explique toujours sur quel type de site il se trouve et quels types de produits sont à vendre.
Donc il peut y avoir du contenu volatile sur la page d’accueil c’est bien, c’est normal, c’est une page d’accueil qui vit mais il faut aussi du contenu fixe qui va expliquer qui vous êtes, ce que vous faites et ce que vous vendez, quels sont les types de produits.
Ça, ce contenu ne doit pas bouger d’un jour à l’autre. C’est important parce que ce sont des choses qui manquent souvent. Parfois on a des pages Web qui n’ont pas de texte, ce n’est pas bon et parfois il y en a mais pas assez. Parfois il y en a mais c’est trop volatile, trop éphémère.
Si Google va sur votre site aujourd’hui et que demain, il vient sur la page d’accueil avec un texte complètement différent, il ne va rien comprendre, il n’y aura aucun suivi dans l’analyse sémantique. Il faut qu’il comprenne, au fil du temps, que votre site est toujours là et vend toujours les mêmes types de produits.
C’est la page d’accueil qui est importante. Moi, je pars sur la base de 200 mots pour expliquer à Google ce qu’on fait sur le site.
Après il y a pages de listes, sur une boutique on a des listes de produits et là, l’idée est de dire qu’on vend des patins à roulettes ou je ne sais pas quoi, il faut aussi du texte. Entre le titre de la page, la catégorie, le rayon, la gamme et la liste de produits, il faut un texte.
Un texte de 100 à 200 mots pour expliquer. On dit que Google est un obsédé textuel donc il faut que la page ait du text-appeal. Une page sans texte, il n’y a pas de text-appeal. Une page avec du texte qui bouge tout le temps, il n’y a pas énormément de text-appeal. Il faut du texte statique, le nom de la catégorie ou de la rubrique, de la gamme, un paragraphe de texte qui explique ce que sont ces produits et ensuite la liste de produits.
Ensuite la fiche produit qui est importante. Si vous mettez une fiche produit avec le nom du produit, la photo, le prix et un bouton « mettre dans le panier », c’est ingérable.
Il faut décrire le produit, il faut du texte. Encore une fois il faut donner du text-appeal aux pages et pour Google, alors ce n’est pas uniquement bien sur une question quantitative mais au niveau quantité, plus il y en a et mieux c’est.
Bien sûr il faut aussi qu’il y ait la qualité, c’est normal, il faut que ce soit quelque chose de parlant, sexy, qui donne envie d’acheter mais il faut du texte.
Ce qui est important c’est qu’il faut que les produits soient décrits avec du texte et c’est ça qui est souvent difficile sur une boutique. Ça prend vraiment de temps et plus on a de produits, plus il faut délivrer du texte et du texte original pour chaque produit.
Ça, c’est important donc le premier point, c’est la technique, c’est évident, enfin pas si évident que ça parce que tous les sites ne sont pas conçus pour Google mais c’est important, du texte et la troisième étape, c’est la pyramide du référencement avec ces trois angles, la technique, le texte et les liens bien sûr.
Plus vous ferez du contenu de qualité, plus vous aurez des produits de qualité, plus les liens arriveront d’eux-mêmes. On appelle ça le link bate, le link bating, c’est le fait que le contenu de qualité attire les liens de qualité.
Parfois ça ne suffira pas alors il faudra partir à la chasse aux liens, des liens de qualité, des liens qui viennent de sites dans votre domaine, votre thématique, si possible dans votre langue et qui, potentiellement vont ramener du trafic.
Le meilleur lien est le lien qui ramène du trafic et des liens pour faire monter la popularité du site dans l’algorithme de Google.
Voilà les trois parties. Chronologiquement, c’est la technique, le site est techniquement bien conçu, ensuite le contenu de qualité et, même si ce n’est jamais fini, quand on a mis en place un contenu de qualité, on va partir à la chasse aux liens, on va essayer d’obtenir des liens de qualité et ça, c’est un travail qui est tout le temps, tout le temps, sans arrêt puisqu’on a toujours besoin de liens.
Autant un site techniquement, une fois qu’il est fait, il est fait, on ne va pas le suroptimiser, le contenu, on ne va pas le suroptimiser non plus, quand il y a du texte et qu’il est bien fait, c’est bon par contre le lien, c’est un travail qui ne s’arrête jamais. Plus on a de liens et mieux c’est.
O.C. Je vais reprendre rapidement parce que tu as dit beaucoup de choses, c’est normal, en référencement il y a beaucoup de choses à dire.
Donc premièrement la technique, pour un e-commerçant, comme il n’est pas forcément technicien, personnellement je lui conseillerais de se diriger vers quelqu’un qui va être capable de mettre en place une boutique en ligne mais qui va avoir la fibre SEO référencement pour savoir mettre en place une boutique qui va tenir la route.
Après derrière, tu parlais du texte, c’est vrai que c’est quelque chose que j’ai constaté aussi, les e-commerçants se contentent un peu d’avoir juste un catalogue de produits sans description et c’est dommage parce qu’au-delà du fait que Google a besoin de texte pour comprendre, même s’il va être capable d’analyser les produits qui apparaissent sur une catégorie, pour lui, ce n’est pas forcément évident de comprendre de quoi parle cette catégorie, ni même de quoi parle le site concrètement.
Au-delà de ça, les prospects non plus ne sont pas forcément capables de comprendre en ne voyant juste qu’une liste de produits. Bêtement, on va le mettre juste pour Google alors qu’en fait, déjà pour les utilisateurs, c’est quelque chose qui est important, le texte.
C’est vrai que les commerçants l’oublient un peu trop souvent, je trouve.
Après tu parlais d’obtenir des liens c’est une question que j’avais mais je vais te la poser maintenant. Justement obtenir des liens, autant le texte, une fois que les e-commerçants l’ont compris ils arrivent à le faire et en effet, ça prend du temps donc je conseille de se donner un rythme.
X fiches produits par semaine et puis au fur et à mesure on aura un site qui sera de plus en plus complet mais par contre les liens, c’est vrai qu’il y a une vraie difficulté pour les e-commerçants d’aller obtenir des liens, de faire parler de leurs boutiques.
Comment obtenir des liens vers son site ecommerce ?
Est-ce que tu as des conseils à leur donner à ce niveau-là pour justement être capable de décrocher des liens et, bien évidemment, des liens de qualité ?
O.A. Si je savais comment faire, je serais riche et je serais, en ce moment, sur un yacht aux Bahamas. C’est évidemment la partie la plus compliquée et Google a rendu cette partie, la plus compliquée parce qu’à une époque c’était un peu open bar et tout le monde faisait un peu n’importe quoi dans le domaine avec des liens de très faible qualité.
En 2012 ou 2013, il y a eu le filtre pingouin qui a quand même pas mal calmé le jeu et je pense qu’il va y avoir encore, cette année ou l’année prochaine, d’autres filtres pour essayer de coincer les spammeurs qui font du lien factice.
L’idée, c’est bien d’avoir un peu de liens, le plus de liens possibles mais ce n’est vraiment pas une question de quantité, c’est vraiment une question de qualité. En fait, il n’y a pas de recette miracle. Il n’y a pas de potion magique.
On va sur le Web, on tape les requêtes qui correspondent à son domaine d’activité, on regarde les sites qui ressortent, évidemment on va mettre de côté les concurrents parce qu’on ne va pas les contacter pour qu’ils fassent des liens vers nous, ça m’étonneraient que ça marche.
On va plutôt essayer de chercher ce que j’appelle des sites « cousins », c’est-à-dire des sites qui sont dans la même sphère professionnelle mais qui sont complémentaires, qui ne sont pas concurrents.
On va les contacter et on va essayer de voir comment faire pour essayer d’échanger des liens. Alors j’entends parfois dire qu’il ne faut pas échanger des liens réciproques, « je pointe vers toi et tu pointes vers moi » mais si, bien sûr, on peut tout à fait le faire à partir du moment où ça se fait dans des thématiques qui sont similaires.
Je vais donner un exemple que j’avais bien aimé, d’un client qui vend des déguisements. Il vend des déguisements en ligne, un peu de tout et puis il avait une très belle panoplie de Spiderman.
Lors de la sortie d’un film de Spiderman, il a contacté tous les clubs de fans de Spiderman et il a fait un quiz avec eux. Il les a contactés, il a dit « j’offre la panoplie complète de Spiderman », c’était quelque chose qui coûtait entre 300 et 400 €, « je pose des questions ».
Chaque club de fans de Spiderman avait un site Web, ils ont fait un quiz il y a eu un gagnant avec à chaque fois un lien, chaque site avait un lien vers le site de déguisements. Ça s’est très bien passé.
Pour le site de déguisements, évidemment le déguisement valait 300 €, il l’avait beaucoup moins cher donc finalement ça n’a pas coûté très cher. L’internaute était content parce qu’il avait un jeu et c’était sympa. Le site de fans était content parce qu’il avait une animation sur son site et il faisait gagner des jeux.
La boutique en ligne était contente parce qu’elle avait des backlinks et avec certains clubs de fans, ça s’est très bien passé, ils ont fait plein d’autres actions ensuite donc en fait vraiment un système où tout le monde y a gagné.
Alors bien sûr c’est du boulot, ce n’est pas un truc où j’appuie sur un bouton et j’ai 4000 backlinks ça, c’était il y a 10 ans, c’est fini, 4000 backlinks bien pourri, ça, c’est terminé. Ils ont eu une cinquantaine de backlinks mais c’était surtout complètement dans la même thématique.
Eux vendaient des déguisements notamment de Spiderman, le lien pointait sur les déguisements de Spiderman sur le site et les sites qui faisaient les liens étaient complètement dans le même domaine. Vraiment c’était génial et le référencement, surtout ce qui est panoplie de super héros en règle générale, s’est très bien passé.
C’est typiquement le genre de partenariat qu’on peut mettre en place et qui va être très intéressant pour le SEO. C’est souvent le département communication ou marketing qui s’en charge.
S’il n’y a qu’une seule personne qui fait du e-commerce qui gère le site, ça veut dire que cette personne doit connaître un peu de technique, elle doit bien rédiger et faire tout le travail de recherche de liens plus la gestion de la boutique et parfois même les envois.
Le problème du référencement c’est que ça regroupe trois métiers différents. La technique, la rédaction et le côté marketing, mise en place de partenariats, recherche de liens.
Il faut essayer d’être le plus performant possible dans chacun de ces métiers.
Ce n’est pas facile, c’est certainement le côté le plus compliqué du référencement, essayer de mettre plusieurs costumes les uns sur les autres pour être le plus performant techniquement, au niveau rédactionnel et au niveau marketing pour aller chercher des liens.
En termes de blacklink, c’est vraiment l’occasion qui fait le larron.
Je vends tel produit, je vais essayer de contacter peut-être des clients qui sont contents et qui vont faire un lien vers moi, ça peut être intéressant mais aussi les fournisseurs où je me fournis pour mes produits.
Il faut être inventif, original parfois, essayer de mettre en place des partenariats. Le gros problème du backlink, c’est que c’est super chronophage. Il n’y a plus de solution automatisée aujourd’hui qui permet de faire du lien, c’est chronophage.
Donc on se dégage du temps, le plus possible et moi je suis encore persuadé que plus le contenu est de qualité et plus facile est la recherche de liens.
Je donne un exemple, mon site Abondance, il existe depuis 20 ans, il est très ancien mais je n’ai jamais cherché un seul backlink de toute ma vie pour ce site. Je n’ai jamais fait de recherche proactive de backlinks et il a quand même 1 million de backlinks.
O.C. C’est le privilège de l’ancienneté mais tu es aussi un peu comme une marque qui va te réputer, du moins dans le domaine du SEO.
O.A. C’est du boulot et c’est deux heures par jour. Je ne suis pas plus intelligent qu’un autre, c’est juste que j’essaie de bosser pour améliorer le plus possible la qualité de l’information qui est délivrée sur mon site. Les gens aiment bien, et quand les gens aiment bien…
Alors ça peut être aussi intéressant de passer par les réseaux sociaux. Les liens, depuis les réseaux sociaux, ne seront pas pris en compte par Google, les réseaux sociaux sont imperméables et étanches par rapport à Google mais il n’empêche que le réseau social va créer de la notoriété, faire connaître le site et quand on crée de la notoriété, ça crée indirectement du lien.
Ces liens seront, par contre, pris en compte par Google sur des sites, des blogs, etc. Le réseau social n’est pas un vecteur d’apport direct de backlinks mais un vecteur de notoriété qui, indirectement, va créer du backlink. C’est aussi très intéressant, Facebook, Twitter, tous les réseaux sociaux et même LinkedIn, les réseaux socioprofessionnels.
C’est très intéressant de se faire connaître par les réseaux sociaux parce que derrière, ça va générer des liens sur des blogs ou ailleurs.
Après il y a bien sûr la possibilité des relations presse mais faire de la relation presse, du vrai communiqué de presse, pas du faux communiqué de presse bidon comme ça existait il y a quelques années en SEO, du vrai communiqué de presse mais il faut déjà avoir quelque chose à annoncer.
Il faut aussi avoir des contacts, ça peut être intéressant mais c’est long et encore quand un site de presse parle de vous, pour moi c’est de loin pas le plus simple parce qu’on se heurte aussi au monde de la presse qui n’a pas toujours très bien compris le numérique.
Il vaut mieux ne compter sur soi pour obtenir des liens, c’est déjà compliqué, c’est du temps, du temps, du temps et de la qualité.
O.C. Je vais revenir sur le fait que la capture de liens est un peu chronophage. Avant, je vois que tu as un invité à poils derrière toi, qui a envie qu’on parle de lui, vu que je pense que c’est lui qui nous fait des petits bruits de temps en temps.
O.A. C’est parce qu’elle voulait sortir en fait.
O.C. On la voit de temps en temps sur des vidéos sur ta chaîne YouTube.
O.A. Tout à fait, elle s’appelle Mila.
O.C. Alors je voulais revenir sur le côté chronophage de la capture de liens et c’est complètement vrai. À moins d’essayer de continuer à faire des techniques qui ne sont pas forcément conseillées et qui sont très courtermistes parce que Google travaille de plus en plus sur la détection des liens obtenus de façon automatique ou du moins très facilement.
Obtenir des liens, ça prend du temps. Maintenant ce que je conseille aux e-commerçants, c’est de ne pas faire le lien juste dans le sens « je vais faire un lien pour améliorer mon référencement », c’est de faire un lien comme tu l’expliquais avec le partenariat avec les sites fan de Spiderman.
En fait, il faut se dire « je vais obtenir un lien ici parce qu’il y a mon audience et les gens qui vont le voir et qui vont éventuellement cliquer dessus sont susceptibles d’acheter mon produit ».
Si on fait bien ce travail, non seulement on va obtenir un lien mais aussi un gain immédiat qui peut être de déclencher des ventes directement.
Par exemple le concours dont tu parlais, il y a des gens qui ont participé pour gagner le produit gratuitement mais il y a peut-être des gens qui ne vont pas gagner, qui ont peut-être été un peu frustrés mais peu importe, ils ont trouvé le déguisement intéressant et ils sont venus acheter directement.
Peut-être qu’on va avoir passé une journée, peut-être deux, ça dépend de la taille du concours et du partenariat que l’on va faire, peut-être qu’on va avoir passé du temps à obtenir ce lien mais au final on va peut-être déclencher 100, 200, 300, 400 € de ventes juste avec ça.
De fait globalement notre temps est payé mais en plus on gagne de la notoriété et du référencement. C’est un peu comme ça qu’il faut voir la création de liens.
O.A. Bien sûr, le meilleur lien, c’est vraiment le lien qui a le double effet Kiss Cool. D’abord il y a du trafic donc derrière il y a des ventes potentielles et ensuite il est pris en compte par Google.
Je suis persuadé que Google ne prend pas en compte de la même façon un lien qui n’est jamais cliqué et un lien qui est cliqué. Ça joue encore là-dessus. Le fait qu’un lien vers ton site soit cliqué, je suis sûr que Google, et c’est logique, via Chrome il a cette information, un lien cliqué a un intérêt.
On dit souvent qu’il faut qu’un lien transfert du sens pour l’internaute. Donc un lien qui n’est jamais cliqué, c’est qu’il ne transfère pas de sens donc quelque part il y a de fortes chances que Google lui donne un poids plus faible.
En revanche, un lien qui est cliqué, voire très souvent cliqué, c’est certainement qu’il y a du sens qui est transféré donc là, Google va lui donner un poids encore plus fort.
Je suis persuadé, il ne l’a jamais dit officiellement, que Google prend en compte le fait qu’un lien soit cliqué ou pas.
O.C. Ça répond aussi à la question qu’on peut se poser si de qualité ou pas. En gros s’il est cliqué, c’est que clairement il va être de qualité puisqu’il a intéressé des gens.
O.A. Bien sûr.
Trois erreurs fréquentes (et grave) à éviter pour le référencement d’un site ecommerce.
O.C. Déjà on a dit pas mal de choses. Est-ce que tu aurais trois erreurs que tu vois très régulièrement ? Tu disais que tu fais des audits, trois erreurs que tu vois fréquemment chez les commerçants et qui sont assez simples à résoudre ?
O.A. Oui. Ce que je vois souvent, c’est la navigation à facettes qui est indexée.
La navigation à facettes, c’est par exemple sur un site qui vend des vêtements, on va pouvoir filtrer en fonction de la taille, de la couleur, du prix, c’est ce qu’on appelle la navigation à facettes. Souvent c’est lu par Google et ça va générer énormément de contenu dupliqué parce que finalement c’est le même contenu en fonction des couleurs, des prix, etc.
Finalement c’est le même contenu qui est retrié et réaffiché. Il faut inhiber la navigation à facettes, il ne faut pas que Google la voit, il y a des façons techniques de le faire. Ce sont des choses qu’on voit assez souvent sur les sites.
Le manque de textes, j’en ai parlé, ce que je vois le plus souvent malheureusement c’est qu’il n’y a pas assez de textes, ni sur la page d’accueil, ni sur les pages de liste, ni sur les pages de produits, c’est un gros gros travail malheureusement.
Le contenu dupliqué qui n’est pas toujours très bien traité, je reprends l’exemple des vêtements avec un T-shirt qui est disponible en rouge, rose, blanc, vert et bleu, il y a des balises, des traitements à faire pour que finalement Google n’en voie qu’un et que ce soit celui-là qui ait la visibilité plutôt que le même produit décliné en X couleurs avec toujours le même descriptif.
Là aussi, il faut gérer le contenu dupliqué que ce soit le même produit dans plusieurs tailles différentes, etc., ce sont des choses qui sont assez classiques.
Le contenu paginé aussi. Le fait d’avoir dans une liste de 10 produits et puis on clique sur « 2 » et on a les produits de 11 à 20, là aussi il y a des balises spécifiques de Google qui ne sont pas toujours intégrés par les développeurs.
Une erreur aussi qui est de se dire que je vais faire un Prestashop, un Magento, un Woo Commerce et on m’a dit que tout ça, c’était bien configuré pour Google, je n’ai rien à faire. Ce n’est pas vrai.
Prestashop, Magento, Woo Commerce ou les autres plates-formes permettent de faire des sites qui sont bien optimisés pour le SEO mais il faut les configurer et il y a un gros travail à faire pour configurer le site pour qu’il soit bien réactif par rapport à Google.
C’est comme quand on me dit « je vais faire un blog, je le fais sous WordPress et c’est bon, le site sera optimisé pour Google, je rajoute le plug-in Yoast », qui est un peu l’extension WordPress qui fait pas mal de choses, le couteau suisse du SEO, « et je n’ai rien d’autre à faire ».
Ce n’est pas vrai. Ce n’est pas parce qu’on met un WordPress avec Yoast que ça va marcher, que c’est optimisé. Il y a plein de choses à faire encore derrière. Ce sont des outils mais encore faut-il utiliser les outils et bien les configurer pour que ça se passe bien.
Le SEO, ce n’est pas si compliqué que ça. Ce sont des règles. Les règles, il faut les connaître et souvent on met en place un site Web, on met en ligne un site Web et à partir de ce moment-là, on se dit « maintenant, je vais regarder les règles du SEO ».
C’est déjà trop tard parce que c’est avant qu’il fallait le faire. C’est quelque chose que je vois assez souvent dans les audits, on me demande de faire un audit une fois que le site est en ligne or je m’adresse aux gens qui regardent cette vidéo et qui ont un projet de boutique, si vous avez un projet de boutique, plus vous allez mettre de SEO en amont, avant la mise en ligne et mieux ça se passera.
Sinon après vous aller être obligé de tout casser pour mettre en place les règles du SEO. Faites les choses le mieux possible en amont, prenez une ou deux semaines de plus mais regardez les règles à mettre en place sur le site et ne mettez en ligne le site que lorsque vous avez un feu vert SEO en vous disant que votre site techniquement est bon, Google friendly.
Après, le contenu et les liens, c’est au fur et à mesure, ce n’est pas un problème. Au niveau technique, balises, etc., navigation, etc., quelque chose qui est très intéressant aussi est de mettre en place un plan de site pour les internautes.
Je ne parle pas du sitemap XML pour les gens qui connaissent, je vais sur la page d’accueil, j’ai un lien « plan du site », je clique et je vais avoir une liste de produits, une liste de liens et plus cette liste sera exhaustive et plus les robots de Google pourront explorer facilement le site.
Imaginons que vous avez 400 produits, vous pouvez tout à fait faire un lien sur ce plan du site vers vos 400 produits ce qui fait que Google aura accès, en deux clics depuis la page d’accueil, vers tous vos produits.
Un clic pour aller de la page d’accueil au plan du site et un clic pour aller du plan du site vers la fiche produit. Ça peut être également des clics vers les pages de liste, de produits, etc. donc en fait on dit que chaque page du site doit être accessible en trois ou quatre clics maximum depuis la page d’accueil.
Ça, c’est garant d’une bonne indexation, d’un bon crawl, d’une bonne exploration par Google des pages. La mise en place d’un plan du site joue aussi à ce niveau-là et toutes les boutiques n’ont pas toujours de plan de site. C’est vraiment dommage.
Voilà quelques exemples de choses que je vois assez souvent et qu’il est possible de mettre en place très facilement.
O.C. En effet pour des gens qui vont avoir pas mal de produits, c’est vrai que si on a une grande profondeur en termes de catégories, Google n’arrive pas forcément à aller jusqu’au bout pour trouver tous les produits et on ne comprend pas pourquoi notre produit super optimisé apparaît nulle part.
C’est tout simplement parce que Google ne l’a jamais vu donc il peut être aussi optimisé qu’on veut, s’il ne le voit pas, ça ne sert à rien.
Je conseille aussi pour un produit qu’on va mettre en avant, qu’on veut pousser dans le référencement, dans les résultats de recherche, de le mettre sur la homepage pour que Google le trouve tout de suite et que ça lui donne du poids.
C’est un bon moyen de rapidement le montrer à Google et lui montrer que c’est un produit important. Il faut clairement aider Google à trouver les produits, ça fait partie des choses qui sont assez importantes.
Acheter une formation SEO est-ce rentable ?
Tu expliques qu’il faut essayer d’anticiper, lorsqu’on crée son site, idéalement de mettre au maximum nos capacités pour préparer le site, pour qu’il soit techniquement adapté à Google, est-ce que tu conseilles de se former au référencement ? Aller voir des sites gratuitement sur Internet ou est-ce que se former en prenant une formation ou autre chose, c’est, pour toi, un raccourci rentable ?
O.A. Je crois que la formation est vraiment un raccourci rentable, ça ne coûte pas non plus très cher, ce n’est pas énorme. Le problème si on se forme sur le Web, c’est que comme le SEO n’est pas une science exacte, on va avoir des informations, on va lire un peu tout et son contraire tout le temps.
En fait, c’est difficile d’avoir une information fiable, c’est difficile de se faire sa propre opinion. Ce qui est important en SEO, c’est d’emmagasiner un certain nombres d’informations et de se faire sa propre formation, sa propre opinion et ses propres tests.
Pour ça, il faut emmagasiner un certain nombre d’informations. Sur le Web, on trouve tout et n’importe quoi. Parfois c’est vraiment n’importe quoi donc c’est difficile de savoir qui croire.
À un moment donné je crois qu’il faut prendre une formation qui va permettre d’avoir les fondamentaux, ça peut être une formation en ligne, ça peut être des bouquins, ça peut être une formation très ancienne, il y a tout un tas de possibilités mais à chaque fois une seule source d’information.
Je suis sûr qu’on peut passer une semaine entière à lire des trucs sur le SEO et à la fin de la semaine, on ne saura pas qui croire, quoi croire parce qu’il y a de tout.
Faire une formation, je pense que c’est bien pour avoir les fondamentaux. À partir de ce moment-là, on peut lire, il y a combien de sources d’information sur le SEO en français et en anglais, franchement si on lit six ou sept sites une ou deux fois par semaine, c’est bon, on a l’information.
On fait une petite veille bien comme il faut et à partir de ce moment-là, on évolue mais on évolue à partir de sa propre expérience. Je pense qu’au départ il faut qu’il y ait des fondamentaux, il faut asseoir ses fondamentaux et je ne suis pas sûr que de butiner un peu partout sur le Web le permette.
On va perdre un temps fou alors qu’avec une formation, on fait les choses proprement dès le départ. Ça ne veut pas dire après qu’on va suivre aveuglément ce qu’on a appris dans la formation, ça veut dire qu’on a les bases et on se fait sa propre opinion, sa propre vision du métier.
O.C. Je suis assez d’accord avec ce point de vue. En effet il y a de tout sur le Web en termes de référencement.
Ce n’est pas forcément un mauvais travail de certaines personnes ou une mauvaise volonté, c’est que déjà le référencement évolue vite donc on peut très bien arriver sur un article qui n’est absolument plus un jour et qui va faire plus de mal que de bien.
Au-delà de ça, il y a parfois des choses qu’on va lire et qui sont encore trop complexes pour nous, on va mal les appliquer et faire plus de dégâts qu’autre chose en référencement.
C’est vrai que je pense que commencer par une formation qui va nous expliquer ce qu’est le référencement, comment ça fonctionne, quels sont les fondamentaux.
Même si Google évolue, les fondamentaux sont les mêmes depuis le début et à partir de là, en se référant toujours aux fondamentaux, on va pouvoir se dire que cet article est cohérent par rapport à ce que j’ai compris du référencement.
C’est comme ça que je comprends ce que tu dis et c’est comme ça que j’essaie de l’expliquer aux e-commerçants pour éviter de perdre trop de temps.
O.A. En plus la formation est évolutive et structurée et puis on peut poser des questions. C’est quelque chose de plus professionnel que de butiner un peu partout pour aller chercher des informations qui sont parfois obsolètes.
On perd un temps fou. Là c’est vrai qu’une formation est un petit investissement mais finalement je crois qu’on s’y retrouve parce qu’on perd beaucoup moins de temps et on arrive à obtenir une information qui est beaucoup plus rapidement pertinente.
Vu le temps qu’on gagne, on gagne de l’argent aussi.
O.C. Moi, par expérience, quand tu dis perdre du temps, on peut perdre quelques semaines comme on peut perdre même des années à faire du référencement un coup par-ci, par-là et faire des choses qui n’apportent rien.
Des fois, on va essayer de faire une petite optimisation qu’on a vue parce que sur une étude de cas on a vu qu’il a fait +50 % en trafic sauf que notre site n’a pas les fondamentaux dont tu parlais au début et donc notre optimisation ne sert absolument à rien.
Si on n’a pas de texte sur les fiches produits, ça ne servira à rien d’aller modifier un peu le fil d’Ariane ou quelque chose, ça ne changera absolument rien.
O.A. Bien sûr. Si le site est construit sur du sable, ça ne sert à rien d’essayer de rajouter une brique, ça va plus l’enfoncer qu’autre chose.
O.C. Tu parlais de livres et ça tombe super bien parce qu’on va aussi parler de ça.
O.A. Il est bien celui-là, je l’aime beaucoup.
Les livres sur le référencement d’Olivier Andrieu
O.C. Tu parlais de bible, il y a 646 pages. C’est peut-être pour ça, tu as raison, qu’on t’appelle le pape du référencement. Celui-là, c’est « référencement Web, stratégies et techniques SEO » mais tu as aussi « référencement Google, mode d’emploi ».
Référencement Google, mode d’emploi
Est-ce que tu peux nous parler de « référencement Google, mode d’emploi » qui est plus petit ?
O.A. Ce n’est pas la même taille. Ce n’est pas la même épaisseur. « Référencement Google, mode d’emploi », c’est vraiment pour les débutants. Le premier livre, c’est celui-là parce que ça, c’est la 10e édition, ça fait 10 ans qu’il existe celui-là.
Il s’épaissit au fil des ans et en fait il est quand même parfois assez technique. Je rencontre pas mal de gens qui me disent « c’est super, il y a plein d’infos mais techniquement j’ai du mal c’est assez complexe ».
En discutant avec mon éditeur, on s’était dit que ce serait sympa de faire une version lite qui serait peut-être le passage avant le gros pavé. Donc « référencement Google, mode d’emploi », c’est beaucoup plus fin, en français, pas de termes techniques.
C’est comment optimiser un site sous WordPress, sur n’importe quelle plate-forme. C’est écrit avec des mots simples. Ce n’est pas du tout technique, c’est pour les débutants.
Une fois qu’on a lu celui-là, en règle générale on a envie d’aller plus loin parce qu’on se dit que c’est vachement bien le SEO, j’espère en tout cas, donc du coup on a envie de passer au niveau 2 et le niveau 2, c’est le gros pavé.
Référencement Web, stratégies et techniques SEO
Il va expliquer plus en détail, de manière plus approfondie, évidemment il y a beaucoup plus de choses. On passe de 230 pages à 646. Les cibles sont différentes.
Le lite, c’est plutôt pour les débutants, les gens qui savent ce qu’est un site Web et qui ne savent pas ce qu’est le SEO et puis le gros pavé, c’est pour les gens qui en ont entendu parler ou qui ont un peu plus de connaissances techniques sur le HTML, ce type de choses et qui veulent aller plus loin.
Les deux se vendent très bien, mon éditeur est très content. Je pense qu’ils sont très bien ciblés, ça correspond vraiment à la demande. Je le disais tout à l’heure, quand je fournis de l’information en vidéo ou sur mon site, c’est toujours pour répondre aux questions des gens et là, c’est pareil.
Les bouquins ont vraiment été conçus pour répondre aux questions les plus fréquemment posées par les gens avec qui je discute tous les jours dans mon activité.
O.C. J’ai la première édition de « stratégies et techniques SEO », le gros livre, elle remonte à 10 ans.
De mémoire, c’est vraiment un livre où je me replongeais dedans régulièrement, revoir la table des matières et me dire « ça, ça correspond à ce que je veux faire, je vais aller regarder ».
Est-ce que l’autre livre pour les débutants, c’est plutôt un livre que tu vas lire pour comprendre le référencement et tu vas peut-être le lire de A à Z et l’autre tu l’utilises comme ça, comme moi je l’ai fait sur la première édition ?
O.A. Oui, complètement. Le premier, je lis, j’ai bien compris. Alors on va peut-être repiocher des trucs dedans, c’est clair mais effectivement c’est comme tu dis, normalement en lisant le premier, on a compris les grands concepts du référencement et les fondamentaux.
Le deuxième, j’ai besoin d’un truc, je regarde l’index, la table des matières et je vais regarder le code qui va bien ou des informations plus précises parce que l’idée est vraiment d’aller le plus précisément possible dans le domaine du SEO.
Il y a d’ailleurs beaucoup de gens qui me disent que le gros pavé, ils l’ont sur une étagère à côté du bureau et ils le prennent dès qu’ils en ont besoin.
O.C. Le SEO, ça bouge tout le temps donc le format papier est très intéressant, très sympa mais il faut quand même que ce soit mis à jour. Là, les deux éditions sont ressorties très récemment et tu refais une édition tous les combien ?
O.A. Le pavé, c’était tous les ans et maintenant on va essayer de faire tous les deux ans. Il est conçu pour ne pas être obsolète au bout de trois mois quand même. On va essayer de faire tous les deux ans parce que d’abord ça coûte cher et puis il y a des gens qui les achètent tous.
Je connais des gens qui m’ont envoyé des photos avec les 10 éditions, une étagère avec les 10 éditions.
O.C. Ils remplissent le mur avec les livres.
O.A. Voilà, c’est sympa, j’espère qu’ils ne tapissent pas les murs avec les pages. Comme il fait quand même 36 €, on s’est dit qu’une édition tous les deux ans c’était pas mal.
Le référencement Google, avant il s’appelait « SEO 0 euro », il avait bien marché. Mon éditeur n’aimait pas trop le titre donc ils ont changé le titre, il s’appelle maintenant « référencement Google, mode d’emploi ». Il sort au mois de mars la nouvelle édition, la troisième ou quatrième édition.
Celui-là est vraiment conçu pour tenir longtemps. Entre chaque édition, je fais des modifications mais elles ne sont pas énormes. L’idée c’est que la version lite soit valable, si on la relie dans trois ou quatre ans, ça soit encore pertinent à 90 %.
Bien sûr il sur des trucs qui apparaissent et disparaissent mais comme c’est purement sur les fondamentaux et que les fondamentaux du SEO sont là depuis 10 ou 15 ans, ça ne fera pas des nouveautés et de toutes façons les nouveautés n’ont pas un impact fort en SEO.
On parle vraiment des fondamentaux. Là, il y a une nouvelle édition en 2018, à mon avis il n’y en aura pas avant 2020.
O.C. Là, on tourne la vidéo pratiquement au moment où les éditions ressortent, mais pour ceux qui regarderont vidéo plus tard, il n’y a pas de problème pour acheter les livres, ils seront encore complètement d’actualité.
O.A. Oui, il y en a pour deux ans, c’est bon.
O.C. Les 600 pages, il faut déjà y aller. Si en plus on applique tout, il y en a certainement pour deux ans.
Comment utiliser les deux livres ?
Les commerçants qui veulent se lancer dans le référencement, tu leur conseillerais de commencer déjà par ton livre pour les débutants, le petit et enchaîner après sur le plus gros ?
O.A. Oui. Si on n’a pas de connaissances, alors je suis persuadé que le gros, on peut le lire de A à Z mais c’est un gros pavé, tant qu’à faire autant lire un Dan Brown, ce sera plus facile.
Le bouquin est très progressif mais ça peut faire un peu peur et puis tout le monde n’a pas besoin d’aller dans la technique pure et dure. Si vous savez que vous allez aller dans la technique pure et dure, vous pouvez tout de suite acheter le gros.
J’ai un peu l’impression d’être commercial, vendeur de bouquins et ce n’est pas trop mon truc. Par contre si vous voulez juste savoir ce qu’est le SEO, les fondamentaux, comprendre les grands domaines du SEO, le petit va très bien et puis vous verrez après si vous voulez aller plus loin.
Le petit, pour les débutants et le gros pour les un peu plus avancés.
O.C. Je connais assez bien ma cible, les personnes qui vont regarder ces vidéos et clairement je conseillerais vraiment de commencer par le petit parce que la première étape, tout ce que tu expliquais au début de la vidéo, les fiches produits, etc., on va très certainement le comprendre très bien avec le livre pour les débutants.
Après, un e-commerçant n’a pas forcément vocation à aller mettre les doigts dans le code etc., il va pouvoir certainement, quand sa boutique va commencer à lui ramener un chiffre d’affaires suffisant, il a pouvoir commencer à trouver un développeur qui va appliquer les choses.
Ils n’auront pas forcément besoin d’aller lire le gros s’ils ne veulent pas mettre les doigts dans le code. Ceux qui veulent tout gérer de A à Z, on peut être e-commerçant et avoir aussi envie de développer alors quand je parle de développement en termes de SEO, ce n’est pas non plus faire des programmes en PHP ou des choses supers compliquées.
Ça reste tout à fait abordable, je pense qu’on peut lire ton livre et plutôt l’utiliser un peu comme je disais, c’est-à-dire qu’on va lire la table des matières et aller piocher ce dont on a besoin au fur et à mesure.
C’est comme ça que je conseillerais au niveau des e-commerçants.
O.A. Oui, ce que je vois souvent, les gens se piquent au jeu. Ils se disent que oui, finalement ça a l’air bien et ils s’aperçoivent aussi que ce n’est pas si compliqué que ça. Le SEO, le référencement est souvent perçu comme quelque chose de très compliqué, il faut être super intelligent pour en faire mais non.
Ce n’est pas un langage de programmation, c’est assez simple finalement le SEO, c’est juste un ensemble de règles qu’il faut mettre en place et en fait, quand les gens lisent les bouquins, souvent ils me disent que « finalement c’est beaucoup moins compliqué que ce que j’imaginais et c’est même assez passionnant parfois ».
Ils se plongent dedans et on ne les arrête plus. C’est bien parce que ça fait des sites qui sont mieux vus et analysés par Google donc c’est plutôt sympa.
O.C. Je confirme que c’est assez passionnant parce que c’est en partie en lisant la première édition et en te suivant sur Internet que j’ai pris goût au référencement. Clairement oui, ce n’est pas si compliqué que ça et ça peut être très drôle.
Parfois les gens me trouvent bizarre quand je dis que j’aime bien faire ça mais voilà, il y a des gens qui aiment bien ça, toi par exemple, moi et on en connaît pas mal d’autres donc oui, clairement ça peut être très drôle.
Une dernière question. Si on veut acheter un ou tes deux livres, où est-ce qu’on peut aller ?
O.A. Dans toutes les bonnes librairies on line, off-line. Un peu partout, Fnac ou autre ou des librairies ou en ligne sur Amazon, partout. L’éditeur, c’est Eyrolles donc c’est un éditeur très présent en termes de livres techniques même s’ils ont un peu diversifié leur offre depuis quelques temps.
C’est un gros éditeur français pour ce type de livre donc normalement on les trouve partout, il n’y a pas de souci majeur. Sinon on tape « livre SEO » ou « livre référencement » sur Google et normalement il y a un site qui les présente aussi et qui est bien référencé normalement.
O.C. C’est une bonne preuve. De toute façon je mettrais des liens sous la vidéo pour diriger les gens pour qu’ils puissent l’acheter.
Olivier, je te remercie et j’espère que la vidéo aura plu aux gens. Est-ce que tu veux rajouter quelque chose ?
O.A. Donc, rien de spécial, merci pour ton invitation et je souhaite un excellent référencement à tous les gens qui regardent cette vidéo.
O.C. Merci, ciao.
Passionné d’e-commerce et de SEO, je suis le créateur du site reussir-mon-ecommerce.fr. Depuis plus de 15 années, j’aide les e-commerçants à développer sainement leur entreprise. Et si je ne suis pas devant mon écran, c’est que je suis derrière ma batterie à jouer du rock ! !
Bonjour Olivier(s),
Merci beaucoup pour cette interview, très intéressante. J’ai eu la chance d’assister à une conférence d’Olivier Andrieu pour le moment, on en ressort enrichi en SEO à chaque fois :-)
Vidéo très intéressante et très bien expliqué,je vous remercie beaucoup pour toutes ces informations.
Hello Olivier , ta vidéo est super intéressante car là , tu as carrément fait l’interview du plus grand référenceur( à mes yeux).J’ai deja acheté le livre ( le plus gros) de O.Andrieu mais je vais courir acheter la version plus light afin de me replonger dans les fondamentaux du SEO. En tout cas merci merci pour ton contenu qui est de plus en plus qualitatif.Tu distilles des informations essentielles pour tous les e-commerçants.Je dirais même que prestashop devrait faire un lien vers ton blog lors de son téléchargement…
@ bientôt
Hello Damien,
merci pour ton commentaire.
Pas sûr que Prestashop fasse un lien vers mon blog même si ça serait cool ;)
Bonjour Olivier
Super intéressante cette vidéo, les informations SEO sont claires et on se doit
de les mettre en pratique .En suivant le guide de Mr Andrieu et en installant
tes modules SEO (facile à mettre en place)nous allons à l’essentiel
A bientôt
Merci :)
Bonsoir Olivier
interview sympa et instructif,
2 Oliviers qualifiés pour mieux nous référencer …
Merci à vous 2
Olivier explique toujours très clairement le SEO et parvient facilement à vulgariser pour rendre le référencement accessible au grand public ! Belle interview en tout cas
Clair, net et précis … Merci aux 2 Olivier… C’est une question de prénom ? ;)
Bonne continuation
Une interview aussi instructive qu’agréable à suivre. Bonne idée que d’avoir éclairci les grandes lignes et les différents usages des ouvrages de Mr Andrieu.
En remerciant deux Olivier fort talentueux de faire vivre notre passion du référencement.
Bonjour Olivier,
Merci pour toutes tes initiatives – alors on dit vous ou tu ?? ;)
Salutations viticoles !
Hello Sébastien, pour le vous ou tu (rien à voir avec l’interview en question) j’ai prévu un petit mail pour y répondre :)
Belle interview, avec pleins d’infos ! Merci aux Olivier :-) !
Du coup je les suis fait la vidéo complète d’une traite en allant travail j’ai noté les idées clés et je vais mettre ça en place direct: plan du site, échange de liens, texte sur la home page, modifier en masse toutes mes titres et meta description…sur mes sites et ceux du boulot :) en prime j’ai acheté le livre via ton lien Olivier :)
Bravo Johann, le passage à l’action est important :)
Bonjour Olivier(s),
Vidéo tres interessante. Débutant que je suis et voulant créer mon site avec Presta, la vidéo est enrichissante. Merci Olivier pour tes vidéos.
Merci pour cette interview du Pape, et pour la pertinence de vos informations, c’est toujours enrichissant et très instructif.
Bonjour Olivier,
Merci pour cette super vidéo, elle a éclairé beaucoup de points sur lesquels j’avais des interrogations. Elle m’a donné envie de me replonger encore plus dans mon référencement (je reprends la suite d’une personne sur un site e-commerce de plus de 400 000 références) car il y a du boulot. J’ai grâce à vos explications des points à travailler en priorité.
En espérant gagner le précieux pour en savoir plus encore :).
Entretien très instructif ! Merci à vous deux !
Bonjour, bel interview. Cela me donne l’occasion de découvrir votre chaine. bonne continuation.
Bonjour Olivier.
Merci pour cet interview avec celui qui m’a fait découvrir véritablement le référencement avec ce fameux pavé, qui pour moi ne démérite pas son surnom de bible. Ce livre est primordial pour quiconque veut se lancer dans le SEO. Et Olivier est le sage, celui qui est humble avec un vrai savoir, dans ce métier qui se renouvèle sans cesse. C’est juste un plaisir de l’écouter. Merci!!!
Je ne savais pas qu’on appelle Olivier Andrieu « le Pape », mais j’avoue que ça lui va très bien,
personnellement, je fais des recherches sur google mais je consulte aussi abondance, ce site qui ne fais pas que me faciliter mes recherches sur google mais me donne des choses en avant première (c’est normal, vu que Olivier commence le boulot à 7H ^^)..
Très bonne vidéo , on apprends énormément .
Bravo aux 2 Olivier(s). Toujours aussi interessant ! je continue de vous lire assidument :))
Bonjour Olivier,
Merci pour cette nouvelle source d’informations encore une fois très riche et enrichissante ! Je me sens obligé de participer au concours. J’ai seulement eu l’occasion d’écouter Olivier Andrieu lors d’une conférence, mais je n’ai jamais lu ses bouquins…! Et c’est vrai qu’à l’écoute de sa conférence, il a mérité son titre de « pape » :)
Merci à vous deux pour le partage d’informations !
bon interview, j’ai le livre d’olivier mais une version de plus de 6 ans.
a l’époque je le trouvé très technique, il faudra que je le relise il me paraitra peut être plus facile a lire.
Bravo pour cette interview !
Bonjour,
J’ai assisté à une conférence d’Olivier Andrieu à Angers, je confirme votre article, très complet et très juste.
Merci pour toutes ces informations pertinentes et détaillées qui me seront très utiles dans mon métier.
Je vais le regarder à nouveau pour encore mieux m’imprégner…
Bravo et encore merci Olivier(s)
Merci pour toutes ces infos !!
C’est toujours intéressant et enrichissant !!
On croise les doigts pour le concours !! :)
Bons conseils, je pense acheter les livres,il est difficile de trouver des articles SEO pour les profanes (comme moi) et je pense qu’ici je vais trouver les reponses à mes questions.
Merci pour tout ces informations Olivier, comme d’habitude je découvre pleins de choses…
Bonne continuation
Cordialement
Bonjour Olivier
C’est une interview enrichissante et instructif.
Cool !
Bonjour Olivier,
Courageux de faire un livre sur le SEO à l’heure où tout va tellement vite que déjà des nouveautés sont déjà en cours ou sorties.
J’aime bien le concept du bouquin lite.
Bon travail.
Excelente interview. Merci de votre partage
Merci pour tous vos articles dédiés à l’ecommerce, ils m’apportent de précieux conseils pour développer mon activité et améliorer mon site et son référencement.
Pour aller encore plus loin, j’espère avoir la chance de gagner les livres que vous mettez en jeu concours !!!
Merci pour toutes les précieuses informations. Cela nous permet d’avancer dans le monde de Google.
Très bonne vidéo.
Super initiative ! Merci
Merci pour cette excellente interview
Enfin quelqu’un qui sait de quoi il parle, bravo et merci les Oliviers ;-)
C’est toujours intéressant d’écouter Olivier Andrieu, le plus difficile est la mise en pratique. Merci pour l’interview et le concours :-) à bientôt
Bon interview !
Vidéo extrêmement intéressante car pas de blabla inutile ni d’enfumage mais de l’info concrète et pragmatique. Et tout en ayant furieusement envie de lire sa bible, on découvre que le pape possède un chien qui se gratte à côté d’Astérix. L’authenticité, ça fait du bien !
bonsoir, contenu dense. Très bien. Y a plus qu’à.
Merci pour l ensemble de vos contenus : toujours intéressants !! J ai partagé votre site avec beaucoup de collègues de promotion ! D ailleurs les livres me permettrons d enrichir mon mémoire sur l Inbound marketing ! Je serais d ailleurs ravi de vous le soumettre à relecture !
Mercià tous les 2 pour ces précieux conseils. Je tente ma chance pour gagner et je viens de m’anonner à la chaîne YouTube pour ne rien manquer. Merci
Merci pour cette interview, très intéressante. Je réfléchi au référencement de mon premier site internet et les stratégies et techniques SEO m’intéressent. Ayant cherché déjà quelques astuces, c’est très technique et cela demande beaucoup de réflexion. Bon dimanche à vous!
Merci beaucoup pour toutes ces informations très intéressantes !
Pour qu’un site ait de l’impact, il est nécessaire qu’i soit rendu accessible. La simple mention des tags et catégories ne suffit pas si elle n’est pas faite avec méthode. La bonne nouvelle, c’est qu’Olivier Andrieu s’est penché sur le problème depuis des années, a élaboré les meilleures méthodes et nos les livre dans ce guide devenu indispensable
Merci aux Olivier ! Je suis étudiant en communication. Je ne cesse de parler de vous et rediriger amis et collègues vers vous. Ces livres seraient une bénédiction, je rédige en ce moment mon mémoire sur l’inbound marketing. J’écris une belle partie sur le SEO !
Article très intéressant et lucratif, Merci pour le temps et la réactivité que tu consacre aux-commerçant, et l’on remarque aussi que contrairement à beaucoup, que toutes tes actions ne visent pas l’objectif de vendre, mais le plaisir du partage intellectuel
qui permet de contribuer à la réussite de chacun, Bonne continuation !
Hello Olivier, je reçois toujours tes pubs avec plaisir et tu figures en tête de mes lectures en vue d’améliorer le référencement des sites dont j’ai la charge ! Je te souhaite une excellente croissance.
Merci Olivier pour tes conseils avisés. Tu le sais, je te suis comme d’habitude depuis le début ! Continue…
Très intéressant, on sent le professionnel du SEO sérieux. Et qui a vraiment à tous les aspects du métier.
Bonjour
Merci pour toutes ces infos et les conseils
Bonjour Olivier,
Merci pour les conseils que tu nous apporte,avec ton blog et tes modules oui qui fonctionnent.
Continu à nous alimenter.
Merci.
Merci pour les articles réguliers et très intéressants! Et merci aussi pour donner la chance de remporter les excellents livres :-)
Bonjour,
Très bonne interview du Pape du SEO depuis plusieurs années :)
Bonjour !
Excellente interview, il y a tellement apprendre sur le sujet.
Merci pour le concours :)
Merci beaucoup Olivier C. pour cet article. C’est du costaud !
et félicitations à Olivier A. pour son ouverture et son partage
Merci Olivier² pour les concours et pour la bonne réception du livre « référencement Google » !
Bonjour Olivier,
Merci beaucoup pour cette vidéo très sympathique! Suite à la visualisation de la vidéo, je me suis offert le petit livre « Référencement Google mode d’emploi 4ème édition ». Merci Olivier pour cette vidéo
excellente interview ! je vais utiliser tous ces conseils SEO pour mon site sur les rangements et accessoires pour montres.
Bonjour Marc,
Merci pour votre commentaire.
Nous sommes ravis de pouvoir vous aider !