Frédéric Canevet attire tous les mois plus de 300 000 visiteurs sur son blog conseilsmarketing.com. Découvrez dans cette vidéo toutes une série d’astuces que Frédéric utilise pour générer du trafic facilement et rapidement.
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Olivier Clémence : Bonjour, je suis actuellement avec Fred Cavenet
Frédéric Cavenet : Bonjour
O.C : C’est l’auteur du blog ConseilsMarketing donc c’est un des plus gros blog francophone sur le web marketing. Donc je voulais t’interviewer parce que ça fait un moment que je te suis et qu’on se suit sur Twitter et que je visite ton blog etc donc voilà je pense que tu as des choses à partager avec les e-commerçants donc vraiment le cœur de cible de mon blog. Alors est-ce que tu peux déjà te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas encore s’il te plaît ?
F.C : Oui bien sur, alors je m’appelle Frédéric Cavenet, je suis Web Marketer Product Manager et pendant de nombreuses années j’ai travaillé également dans le e-commerce. J’ai débuté dans les années 2000, ça devait être en 1999 que j’ai commencé dans le premier site e-commerce dans lequel j’ai travaillé. C’était assez marrant, c’était vraiment le début du début à l’époque donc on était concurrent de rueducommerce, une petite société qui venait de se créer et qu’on a essayé de rattraper pendant de nombreuses années. Donc c’était une belle aventure, c’était le début du e-commerce en France et c’est vrai que depuis ça a bien bien évolué.
O.C : Oui c’est clair, ça fais un peu parti des dinosaures du e-commerce rueducommerce.
F.C : Oui, à l’époque oui c’était vraiment le début, il y avait tout à créer. Mais on s’est bien amusé et c’est vrai que là maintenant, tu vois que les techniques évoluent de plus en plus et c’est vrai qu’on a vraiment une spécialisation dans tous les métiers du marketing. Par exemple, là tu vois il y a pas très longtemps, on m’a encore demandé « tiens est-ce que tu connais un spécialiste AdWords, est-ce que tu connais un spécialiste Facebook Ads, est-ce que tu connais un spécialiste référencement ? » et comme toi, il vaut mieux être spécialiste dans un domaine et faire appeler quelqu’un qui est vraiment bon que faire appel à un généraliste qui est pas forcément au courant des dernières technologies, des dernières évolutions, et moi je vois rien que pour mon métier, tous les mois il y a des choses qu’on découvre et qui permettent en fait d’aller plus loin. Et ce qui est intéressant maintenant en plus c’est que la philosophie que j’ai, qui est l’efficacité maximale c’est à dire essayer d’avoir un maximum de résultats en un minimum de temps ou d’efforts, maintenant cette philosophie arrive vraiment à percer, c’est ce que maintenant on appelle officiellement le Growth hacking et c’est ma philosophie à moi, c’est avec peu de moyens, même une petite entreprise, tu peux avoir un gros résultat et c’est ce que j’essaye de faire moi avec mon blog ou pour les entreprises pour lesquelles je travaille, voilà.
O.C : Ok, justement donc ton blog, à priori tu y arrives pas mal parce que tu peux nous parler de tes statistiques, en termes de …
F.C : Oui grosso modo le blog il fait entre 10 000 et 12 000 visiteurs par jours, parfois un peu plus parce qu’il y a des pics de trafic. Donc c’est vrai que ça peut paraître un gros chiffre et c’est vrai que c’est un gros chiffre pour les blogs marketing parce que sur d’autres blogs, d’autres thématiques tu arrives quand même à faire venir beaucoup plus de monde mais le secret en fait il est vraiment dans la longévité du blog. Tu vois, ça fait depuis 2006, je fêtais mes 10 ans de bloging il y a pas très longtemps, c’est ça en fait qui apporte le plus de trafic parce qu’en fait, j’ai un certain nombre d’articles que j’écris depuis des années et des années et qui font que finalement les petits ruisseaux font les grandes rivières et à un moment donné tu vois j’écrivais quasiment un article tous les jours alors bien sur c’était de l’article easy writing c’est à dire que c’est de l’article qu’on fait très rapidement qui prend 5-10 minutes, à un moment donné je faisais ça. Maintenant j’ai un petit peu changé de fusil d’épaule, puisque la concurrence est devenue beaucoup plus grande, il y a beaucoup de contenu de qualité sur internet et donc j’essaye de faire plutôt du contenu moins souvent mais du contenu de meilleure qualité et des articles qui sont beaucoup plus long. C’est à dire que maintenant je fais grosso modo, un article enfin deux articles par semaine, le lundi et le mardi, parfois le mardi un easy writing encore, un truc super rapide et grâce à ça en fait j’essaye d’avoir du contenu qui soit vraiment le meilleur dans mon domaine d’activité, c’est ce qu’on appelle les articles piliers, les articles de référence, qu’on peut même transformer en livre blanc tellement ils sont bons parce qu’ils font grosso modo, 2500 mots voire plus donc ce sont vraiment des… enfin j’essaye de faire le plus souvent ça et donc ça, ça permet d’être un référencement et surtout tu fais de la promo derrière. C’est à dire que quand je vais faire un super article comme ça, je passe du temps derrière à faire de la génération de trafic, c’est à dire que j’ai une chekc list, c’est un petit fichier que je tiens, où je me dis « ben tiens quand j’ai un super article qu’est-ce que je fais? ». Alors bien sur, je fais un relais sur Twitter, sur LinkedIn, je fais un article sur LinkedIn, je vais par exemple mettre une vidéo derrière. À chaque fois, systématiquement que je fais un article de blog, systématiquement quand c’est un bon article, je fais un screen cast c’est à dire que je filme mon écran et je redis un petit peu ce que j’écris mais de manière un peu différente, je donne des illustrations etc etc, donc j’ajoute un peu de valeur ajoutée. Donc je le mets après sur Youtube, je le mets sur Viméo et après je transforme en fichier mp3 que je mets sur Audioboom ou tu peux le mettre sur SoundCloud qui sont deux outils et après en fait ça va me permettre d’être présent sur iTunes et grâce à ça en fait, en cumulé je multiplie par 2 ou 3 mon potentiel d’audience. C’est à dire qu’un article qui va faire entre 500 et 1000 vues enfin 1000 vues, 1000 visiteurs grosso modo, c’est la fourchette normale pour un article que je sors, en le mettant après sur en vidéo native, sur Facebook et ben j’en récupère presque 50-100 vidéos vues, je le mets sur Youtube, je récupère une trentaine, cinquantaine de vues, je le mets également sur LinkedIn, je récupère entre 100 et 200 vues, je le mets sur mon podcast je récupère entre 200 et 300 écoutes etc etc donc en fait et puis après j’ai aussi une technique que j’ai expérimenté tiens je vais te montrer là sur LinkedIn parce que c’est plus simple, j’ai moins de contenus qui sont publiés mais depuis grosso modo 6 mois, j’ai une technique qui marche bien surtout sur LinkedIn c’est pas forcément la cible des e-commerçants sauf si vous êtes e-commerçant be to be, mais en fait je fais créer des images systématiquement pour mes meilleurs contenus entre guillemets. C’est à dire que quand j’ai un article top que je veux mettre en avant, par exemple là j’ai un article sur le service client et donc en fait je vais faire créer à peu près une vingtaine d’images comme celle là tu vois ici, quand vous êtes au téléphone, il faut faire que ça il faut pas regarder sur Facebook, il faut pas faire des trucs, enfin tu vois, je mets des images comme ça sur LinkedIn, ce qui me permet en fait de multiplier à peu près par 3-4-5 le pouvoir de viralité d’un article. Voilà, par exemple là sur le gros hacking, j’avais fait une petite image pour mettre en avant du contenu donc en fait le fait de pouvoir multiplier comme ça les supports, les médias, me permet de donner vachement plus de visibilité à mes contenus. Alors on n’est pas obligé de les faire créer soi-même. Moi je le fais créer, j’utilise des services low cost comme Fiverr qui est une solution en fait de low cost, de création de logos, d’images, de vidéos, blablabla, mais on peut aussi par exemple chercher sur internet des contenus existants qui sont pas copy writer et les utiliser comme ça pour remettre en lumière du contenu. Et après bien entendu, dans mon dispositif de promotion, j’utilise aussi des outils qui me permettent de remettre en lumière des anciens articles. Par exemple, j’utilise Buffer.com voilà. C’est un petit outil qui me permet de re tweeter mes contenus voilà. Donc en fait, ici tu vois j’ai Buffer et tous les jours à 15h tu vois il y a un contenu de qualité qui est re tweeter et donc en fait je sais que j’ai 15-20-30 re tweet etc etc donc tout ça en fait ça me permet d’avoir plus de visibilité. C’est une version gratuite que j’utilise qui permet de mettre 10 contenus à la suite donc c’est à dire que je programme pendant plus d’une semaine des contenus voilà, donc tu vois directement ce que je vais publier dans les quelques jours à venir. Donc ça, ça me permet de me dire « hop ok, très bien », tu vois là par exemple mon guide de survie de l’e-commerçant, il est prévu aujourd’hui à 3h. Demain il y aura le guide d’e-mailing qui va être prévu et bien entendu, ça c’est des contenus importants mais j’essaye de récupérer une liste de prospects donc à chaque fois en fait ici, ce sont des liens qui donnent vers des formulaires de téléchargements et mon but c’est d’aller tous les jours récupérer les contenus. Et en plus, là c’est toujours dans le dispositif d’automatisation, hop, j’utilise deliever it, qui me permet qu’à chaque fois que j’ai publié un article sur Twitter, c’est republié après sur LinkedIn, c’est republié sur différents endroits. Alors c’est bien de faire ça, de faire de la republication automatique parce que ça permet de gagner du temps. Le seul truc c’est que ça te fait, ça te transforme en robot et en fait mine de rien, j’ai remarqué que les gens se rendent compte que quand tu automatises beaucoup, ça se voit un peu trop. Donc j’essaye de réduire cet aspect automatisation là en publiant manuellement des trucs. Par exemple sur Facebook, j’utilise en fait, je fais de la publication automatique, enfin manuelle et automatique pour mettre un petit peu d’humanité là dedans, pour que ça fasse moins la world company. J’essaye de donner des sentiments, j’essaye de parler de certains trucs etc etc. Donc ça, ça me permet de ne pas être trop loin de mes clients, de mes prospects. Tu vois là c’est de l’automatique et puis ça se voit que c’est de l’automatique. Rien que là par contre, je suis allé en Belgique il y a pas longtemps et j’ai un petit souvenir des belgissimes, voilà des trucs belges. Donc c’est pour vous donner des petites idées et sur Facebook, clairement ce qui marche vraiment bien c’est le contenu visuel. Moi j’en mets un max de contenu visuel et c’est ce qui marche le mieux. Mais là on va revenir maintenant sur l’aspect e-commerçant, là je vous ai montré des trucs qui permettent d’animer une communauté, se faire reconnaître comme un expert, blablabla, ça c’est bien mais ce qui est plus important c’est quand même de générer du lead, générer des ventes, générer du prospect et donc ce que moi je vous invite à faire c’est déjà essayer plutôt de générer du chiffre d’affaire et c’est pour ça en fait que par exemple moi j’étais il y a pas très longtemps avec un directeur marketing et on parlait animation de pages Facebook, « je veux des j’aime, je veux du like » et tout ça et en fait je lui disais « mais non c’est pas ça qu’il faut faire avec Facebook ». C’est vrai que c’est sympa si tu as une communauté importante pour faire revenir les clients, pour les fidéliser, ta page elle est plutôt là pour ça. Elle est là pour fidéliser, mettre un lien, mettre de l’émotion avec les gens mais ça va pas forcément t’attirer beaucoup de prospects en plus. Ce qu’il faut faire dans ces cas là c’est d’utiliser des outils de Facebook comme Facebook Ads qui est super puissant et qui est vraiment fait pour ça et aller cibler sur les centres d’intérêts, aller cibler sur les professions et moi je le fais régulièrement en complément d’AdWords et je dis toujours que AdWords et Facebook ben c’est deux outils qui sont complémentaires. Facebook en fait, on va plutôt cibler des audiences, c’est à dire que je vais chercher sur Facebook des gens qui aiment tel truc, qui sont passionnés de tel truc etc etc et je leur affiche une offre irrésistible pour lesquels en fait ils diront « ah oui wouah c’est vraiment intéressant », c’est un produit d’appel et AdWords c’est différent, c’est tout simplement ben je vais capter des gens qui recherchent quelque chose, qui sont en recherche d’achat sur un produit, sur une thématique voilà. Bien sur, AdWords permet de faire d’autres choses, comme par exemple, afficher sur des sites. Par exemple, tu as un blog qui est très célèbre, je ne sais pas si tu vends de laine, tu es dans le domaine du tricot ben tu vas aller afficher la publicité sur des sites de tricot. Ça c’est le réseau de contenu d’AdWords qui peut marcher pas mal. Alors il y a beaucoup de faux trucs, il y a beaucoup de faux clics sur le réseau de contenu donc il faut faire attention, il faut avoir des campagnes dédiées, mettre un coût au clic qui est très faible, qui est genre 10 fois moins faible au moins. Et puis Facebook aussi on peut faire plein d’autres choses en plus. Moi j’invite tous les e-commerçants à mettre le pixel de Facebook sur leur site pour pouvoir avoir des audiences similaires et comme ça aller pouvoir toucher des personnes qui ressemblent aux gens qui visitent leur site internet. Et le dernier point, là encore j’avais une e-commerçante qui me disait « oh je ne comprends pas, j’ai un site internet, j’ai du trafic, j’ai des gens qui mettent des produits dans le panier mais ils commandent pas ». Et j’ai dit « mais attends, déjà il y a une chose qui est essentielle à faire, met un chat sur ton site ». Alors là je ne l’ai pas mis sur ConseilsMarketing parce que j’ai arrêté parce que j’ai un gros dossier là en cours et j’ai plus le temps en fait de faire du chat. Parce que le chat en fait c’est hyper puissant, ça humanise ta marque et en plus ça te permet d’améliorer tes conversions mais d’une manière de malade quoi. Parce qu’en fait les gens, parfois ils abandonnent le panier parce qu’ils savent, parce qu’ils manquent un truc, il manque une information, etc etc, et le chat comme tu vois ici en bas de l’écran qui est vraiment bien parce que tu vois il est très visible, « est-ce que je peux vous aider? » etc etc, voilà. Mais surtout en fait, c’est un chat practise normalement au bout de quelques secondes, ça doit 45 secondes ou un truc comme ça, il va se lancer, il va dire « Bonjour, vous voulez de l’aide pour un truc? » ou un truc comme ça. Donc ça en fait, ça permet justement de limiter l’abandon de panier, d’améliorer la conversion des visiteurs. Donc voilà, j’ai peut être un peu parlé beaucoup, je te laisse peut être reprendre le fil.
Olivier Clémence : Non non non, c’est super intéressant et pour en revenir au chat, moi aussi j’avais installé un chat sur ma boutique et c’est vrai que tu réponds directement aux questions et tu rassures les clients parce que tu es présent donc ils savent qu’il y a quelqu’un derrière, maintenant c’est vrai qu’il faut quand même bien mesurer le temps que ça prend. Parce que déjà, ça demande d’être disponible, parce que tu es obligé de répondre assez rapidement, c’est du chat, ce n’est pas non plus un mail, donc il faut être assez réactif. Moi je pense que sur un site e-commerce c’est pas mal mais faut peut être pas le mettre sur n’importe quelle page non plus, ça peut être intéressant de le mettre sur les produits les plus rentables ou justement dans le tunnel d’achats pour éviter les abandons de paniers mais moi j’ai constaté que j’avais beaucoup de gens qui justement allaient sur le chat et prenaient pas la peine d’aller lire ma FAQ ou etc du coup je me répétais en fait je leur disais ce que j’avais mis dans ma FAQ et au final bon il y avait une progression au niveau des ventes c’est sur mais trop de temps quoi.
Frédéric Cavenet : C’est du temps. Oui ben moi ce que je faisais c’est qu’en fait j’ai des raccourcis et en fait hop tac j’ai des messages automatiques qui apparaissent et donc en fait le mec tranquillou je lui mets des, enfin il me posait une question et je lui répondais. Alors par contre je suis d’accord avec toi que ça, comment dire, ça te prend du temps, ça dépend de ton nombre de visiteurs. Après, oui la conversion. Moi par exemple, c’est vrai que tu as raison, moi je l’ai mis par exemple sur certaines pages AdWords parce qu’en fait tu peux mettre un chat sur une page AdWords, une landing page par exemple sur un produit ou quelque chose comme ça et sincèrement ça m’a permis d’aller récupérer quelques clients qui disaient « oui où il est votre prix? » alors que le prix il était indiqué quoi. Mais bon des fois, il y a des gens qui font pas d’efforts. Donc tu as raison, il faut sélectionner ses pages. Moi je mets dés la homeppage sur ce site là parce que c’est un site leadgen c’est à dire que ce n’est pas un site de ventes c’est un site en fait qui est fait pour générer du prospect, c’est un site b2b et il y a peu de trafic mais dès que tu as du monde c’est vrai que ça peut être chaud. L’autre truc que je mets en place, c’est qu’en fait tu vois j’ai chat ici mais je suis jamais là c’est à dire que ici ce site là et même sur ConseilsMarketing, le chat il est tout le temps allumé, il se déclenche comme ça de manière automatique mais je ne suis jamais derrière parce qu’en fait mon but après c’est d’aller retirer du lead et là ici par exemple les gens vont me poser une question, voilà tac tac tac et ensuite tu vois comme je suis pas connecté, il va me dire « donnez moi votre e-mail et votre numéro de téléphone » et en fait ça va arriver là par exemple je vais mettre ça tac et ça va arriver dans mes messages. Alors après, ce n’est pas idéal parce que les gens vont partir, vont, peut être, commander ailleurs mais ça va en fait envoyer le message à la conversation par mail. Donc ça peut être un petit truc mais c’est vrai que ça peut être déceptif. Donc à vous de voir mais le chat en tout cas, par exemple pour la nana là dont je t’ai parlé pour son problème de conversion, le problème c’est qu’elle ne savait pas. Elle sait pas pourquoi les gens ils ne commandent pas, elle ne sait pas pourquoi ils font des abondons de panier, et c’est vrai que c’est compliqué de savoir si tu ne discutes pas avec les gens. Là tout de suite ben j’attends de ces nouvelles pour qu’elle me dire ok qu’est-ce que ça donne.
O.C : Oui voilà, je pense que ça peut aussi être utilisé comme ça parce que tu prends la personne à chaud en fait. Moi j’ai pas mal de e-commerçant. Avant que ce genre de chat soit vraiment, parce que maintenant il y a pas d’outils qui permettent de le faire mais il y a encore pas très longtemps, c’était encore assez difficile de mettre tout ça en place, j’avais des e-commerçants qui venaient vers moi en me disant « bon ben je comprends pas, j’ai des gens qui m’envoie des mails en me disant qu’ils ont un problème mais voilà c’est pas précis ce qu’ils disent voilà j’arrive pas à reproduire le bug » et c’est vrai qu’à la limite, tu as un chat qui est dispo à ce moment là, la personne, en plus il y a certains chat qui te donne la fonctionnalité de voir l’écran de la personne quand elle manipule et donc là c’est vrai que déjà par exemple pour du débugage ça peut être absolument génial parce que si tu as un bug que tu n’arrives pas à reproduire c’est très difficile de le corriger et c’est vachement utile ce genre d’outils, et comme tu le précise là pour la e-commerçante en question, si tu as un problème sur un point précis, tu peux très bien mettre en place le chat jusqu’à ce que tu résolves le problème donc tu vas consacrer du temps mais une fois résolu tu retires le chat quoi. Après ce que j’ai pas fait moi quand j’ai mis le chat et ce que je devrais faire pour en fait vraiment vérifier l’intérêt du truc, c’est de me dire tous les jours pendant deux heures, j’affiche le chat et je suis présent donc éventuellement pendant les périodes où il y a le plus de monde sur mon site et j’essaye de mesurer les conversions sur ces périodes là par rapport à une période où j’ai pas le chat tu vois. Et comme ça pour évaluer l’efficacité de l’outil quoi. Et c’est, de toute façon, à priori il faut tout tester de manière assez précise si on peut mais sur un système de chat comme ça je pense que c’est faisable d’avoir une idée de l’impact au niveau des conversions quoi.
F.C : Oui ben c’est vrai que après moi là je te montrais mon outil de chat c’est clickdesk avant j’étais sur zopim pendant longtemps et là j’ai trouvé un truc qui est vraiment mieux parce qu’ils font du vidéo chat. Alors encore une fois là c’est, comme tu l’as dit, c’est du temps parce que passer de la vidéo avec les gens tu sais ils aiment bien discuter, super content blablabla, il faut faire gaffe à pas trop time consuming.
O.C : ca permet de tracker tes objectifs, c’est pas mal pour ça aussi.
F.C : Oui et pour le trackingmaintenant je suis en train d’expérimenter un nouveau truc parce que je trouve qu’en fait, voilà click metter, je trouvais en fait que Google Analytics c’est pfou, parfois un petit peu complexe, à traquer des trucs et là maintenant je suis en train de tester ce nouveau truc là c’est click metter, j’ai testé depuis allez quoi une semaine ou deux et c’est vrai que c’est assez simple à manipuler, au contraire de Google Analytics qui est parfois un peu relou et en fait là tu peux vraiment créer simplement des liens traqués, tu peux bien sur avec différentes sources, tu peux après voir la conversion, tu peux même créer un, comment dire, un pixel de conversion directement, c’est assez sympa, j’ai vraiment. Après c’est vrai que c’est peut être pas forcément, enfin ça vient un peu en concurrence d’un Google Analytics, si tu maîtrises bien Google Analytics t’as aucun intérêt de t’y mettre mais c’est assez sympa. Je trouve qu’au niveau fonctionnalités, c’est vraiment simple quoi, tu vois les conversions, tu vois les clics et par exemple, tu vois moi j’avais un souci parfois, je voyais beaucoup de clics et je me disais « merde, est-ce que c’est les clics des vrais clics ou c’est les clics de, comment dire, de moteur de recherche ? ». Et c’est vrai que là je l’ai vu tout de suite. Il t’analyse les spiders des bots et il t’analyse les vrais clics et par exemple, tu vois, il y a pas très longtemps, j’avais fait appel à un service de promotion sur Twitter, en fait c’était simple. C’est des mecs qui font de la promotion via des comptes, qui acceptent de faire du relais de tweet, j’ai dit « ben tient bon ben je vais tester, ça peut être intéressant de voir si ça marche ou pas ». Donc j’ai utilisé un petit budget, j’ai créé une URL traquée et après j’ai viré les conversions derrière et j’ai vu qu’il y avait 50% des clics qui étaient des clics de robot, donc de bots, et après je voyais après les vrais clics et je voyais après la conversion et c’est vrai que bon, ça coûtait pas très cher mais bon la conversion derrière était assez moyenne moyenne, voilà. Donc toi, si il y a des gens qui se disent « putain, ah Google Analytics c’est compliqué, j’ai du mal à suivre mes conversions » tu donnes un truc plus simple, là click metter il peut être assez sympa, il peut même faire de l’affiliation en fait dedans et tout ça, c’est pas mal mais ça ne vas pas remplacer Google Analytics mais ça va être assez sympa pour faire des petits suivis de conversion, voilà.
O.C : Et tu peux cumuler les deux en fait ?
F.C : Ben en fait comme c’est indépendant, imaginons que allez, ben là comme je l’ai dit il y a deux secondes, tu fasses par exemple un sponsoring de newsletter, tu veuilles en fait dire « tient tient, j’ai fait un envoi de newsletters avec un partenaire ou je fais de la co-registration », tu mets un lien traqué, en plus tu peux avoir des liens liés à ton domaine et non pas des liens genre bit.ly/blablabla donc tu peux avoir un lien lié à ton domaine, et donc ton nom de domaine c’est à dire que ce sera toto/1234 donc tu le mets dans ta newsletter, ça fait un lien un peu friendly et donc après derrière tu dis « ben tient voilà la page de paiement » par exemple, et ben tu pourras dire ben voilà il y a eu tant de clics, clics de robot, des clics des vrais trucs et tu peux dire après « tient voilà ça m’a eu tant de conversions » et bien sur tu peux gérer des montants, des trucs comme ça et c’est super graphique, c’est alors là comme je t’ai dit je suis vraiment au début donc bon c’est pas encore très significatif mais c’est vraiment sympa, à utiliser c’est simple. Tu as une version gratuite qui peut aller jusqu’à 1000 clics mais par contre tu ne gères pas les conversions, c’est ça qui est un peu emmerdant, dans la version gratuite. C’est pour ça que je suis passé assez vite sur la version payante. Après c’est vrai que si tu as beaucoup beaucoup d’événements, beaucoup de clics, ça peut coûter assez cher parce que tu vois plus tu as d’événements, tac tu grimpes tout de suite à un montant qui devient assez important quoi mais bon pour tester des petits trucs tu vois, on va dire 5000 clics avec des conversions, c’est pas mal quand même. Tu peux en faire de l’a/b testing et tout ça, c’est assez sympa quoi. Tu vois, c’est celui là que moi j’ai pris pour l’instant, on augmente un petit peu le nombre d’événements parce que 5000 clics ça arrive assez facilement quoi si tu as quelques campagnes AdWords qui tournent, si tu as un peu d’e-mails par exemple, d’e-mailing, tu arrives très rapidement à ces montants là. Mais l’intérêt c’est que c’est vraiment simple, vraiment super simple.
Olivier Clémence : Tu nous feras peut-être qu’une vidéo de présentation sur ta chaîne.
Frédéric Cavenet : Ben en fait, ce que je fais c’est que j’essaye de bien tester d’abord les outils parce que là je ne suis pas encore, enfin je suis en train de me dire est-ce que ça va vraiment être plus rentable que d’utiliser un Google Analytics donc je suis encore dans le test. Et dès que j’aurais oui, dès que j’aurais un petit peu tester le truc je ferai sans doute un, de toute façon, j’ai rarement ces outils là qui sont à forte valeur ajoutée, je les mets dans la Star Marketing Academy qui est en fait ma mini formation continue sur le gros hacking donc les outils comme ça, j’explique comment ça marche. Et par exemple, là tu vois je suis en train de tester un truc aussi ici, ça sera dans la prochaine version de la Star Marketing Academy. Alors là je suis peut être en résolution un peu zoom je vais réduire un peu le zoom parce que là j’ai fait une… voilà. Ici, par exemple, j’ai mis ça s’appelle response messenger, alors faut que je retrouve le nom, je vais te dire ça tout de suite. C’est un petit… alors ça s’appelle, excuse moi, voilà c’est un response messenger, c’est un truc que je vais mettre dans la Star Marketing Academy, que j’ai testé, ça s’appelle push responder voilà. Push responder, c’est un petit outil qui permet en fait d’afficher ici un push message. C’est à dire qu’en fait, tu sais dans certains sites internet, tu as des messages qui disent « tient est-ce que vous voulez suivre l’actualité ? » et après en fait tu as des messages qui apparaissent. Par exemple, tient envoie moi un message sur Twitter, tu vois Twitter et Facebook ont activé ça, si tu m’envoies un direct message sur Twitter comme j’ai activé le push message, tu vas avoir une petite fenêtre sur Twitter qui va me dire « ben tient il y a Olivier Clémence qui vient d’envoyer un message ». Ben en fait ça c’est la même chose, c’est à dire que sur votre site internet vous pouvez dire aux gens, ici ben le message il est là, alors là il y a la bulle donc on ne voit pas. Voilà « je vous propose de recevoir une sélection de mes meilleurs conseils, la crème de la crème afin de vous aider à faire la différence sur votre métier, vous n’allez recevoir que le top de ConseilsMarketing », « non merci / ok ». Et si il clique sur ok, à chaque fois en fait, je vais arriver dans un système en fait de messages que je peux envoyer, des messages automatiques ou des messages manuels, qui vont leur permettre en fait d’avoir un petit message disant « tient voilà les dernières actu, la promo, on sort une nouvelle version de ce produit » etc etc. Et là en fait ça leur enverra un message via le navigateur, une petite alerte en fait et c’est assez puissant en fait. Alors faut faire attention à ne pas multiplier non plus les fenêtres pop-up, ah tient tu vois il y a Facebook qui m’en a envoyé une, Michael Lafrasse asked to join Bons Plans Paris etc. Donc c’est exactement ça, c’est ça un push message et ça marche sur Chrome, je crois que ça marche sur IE ou Mozilla mais pas tous mais en tout cas ça marche sur une partie des navigateurs et c’est encore une fois tu vois c’est des petits trucs, si tu te tiens pas au courant de l’actualité marketing, tu peux vite tomber à côté. Alors encore une fois…
O.C : tu as eu des résultats là dessus ?
F.C : Je suis en train de le mettre en place. Donc c’est vraiment le début, là le taux de conversion est pas formidable, c’est à dire que tu vois peut être à 1% de conversion de visiteurs, un peu moins, en fonction d’une surface de calcul, entre 0.5 et 1% de conversion pour ça et après bien sur, grâce à click metter, tu vois, je vais mettre un petit message et je vais traquer le lien et je vais tout de suite avoir sur un message envoyé, je sais pas à 500 ou 1000 personnes qui sont abonnées dessus, combien je ferai de ventes ou combien je ferai de clic. C’est pour ça que click metter est assez sympa parce qu’avec Google Analytics, tu galères un peu parce que tu veux aller voir dans tes conversions, machin et tout ça, tu n’as pas cette idée qui est vraiment en trois clics je fais ma campagne, tac tac et je vois tout de suite les résultats. Donc voilà.
O.C : Ben tu peux le faire mais c’est plus compliqué à faire dans Google Analytics.
F.C : Oui parce que c’est pas, c’est un outil qui est tellement puissant, même moi tu vois Google Analytics, je pense que je l’utilise à 5% de ces capacités, que pour des petits tests comme ça qui sont des tests marketing, autant Google Analytics, c’est vraiment super pour tout ce qui est, ok tu suis les conversions AdWords, machin tout ça, tu as les visites, c’est super mais autant pour les petits tests comme ça très pointus, je trouve que c’est un bazooka pour tuer un moustique. C’est beaucoup plus simple d’avoir un outil qui est beaucoup plus, comment dire, beaucoup moins évolué. Alors en revanche, là encore une fois, je fais un truc qui est important, que tes auditeurs qui sachent, attention à ne pas se faire prendre par les effets de mode. C’est vraiment un des plus gros dangers que je vois en fait en web marketing de manière générale, c’est attention aux effets de mode. Par exemple, il y a des gens qui vont dire « oui la grosse mode maintenant, c’est SnapChat, il faut être sur SnapChat, c’est génial » ou le petit message que je t’ai montré il y a deux secondes « oui c’est génial, c’est un nouveau moyen d’aller convertir les clients click metter wouah c’est génial, ça va nous permettre d’aller suivre les campagnes », il faut faire attention parce que dans le marketing tu as beaucoup beaucoup d’outils qui sortent et il faut pas partir tout le temps à la chasse du nouveau et faut rester sur ces fondamentaux en particulier dans le e-commerce, il faut se dire clairement que voilà tu as AdWords, tu as Facebook Ads, tu as les places de marché, tu as les SEO, tu as l’affiliation, tout ça en fait ce sont des basiques, des fondamentaux, qui faut pas, en fait, négliger, il faut pas se dire « tient ben je vais pas » ou comme tu dis le chat, c’est un bon exemple aussi le chat, tu peux facilement y passer des heures si tu fais pas gaffe, il faut faire attention à la rentabilité et se concentrer sur ce qui marche vraiment.
O.C : Oui dès que tu as un nouvel outil, il faut forcément déjà définir une stratégie sans que ça passe par trois jours d’études mais tu peux définir une stratégie et des objectifs et à partir de là tu peux vérifier si c’est efficace ou pas parce que sinon en effet, tu peux rajouter ben tout ce que tu nous as présenté tu peux le rajouter, tu vas déjà risquer de transformer un peu ton site en sapin de noël, et tu vas t’éparpiller et derrière si tu ne mesures rien, tu as aucune idée de ce qui fonctionne et d’autant plus que si tu as pas moyen de traquer précisément tu commences à utiliser pleins d’outils différents tu sais pas lequel te booste tes ventes en fait et …
F.C : Ben oui oui, par exemple tient j’ai un exemple il y a pas longtemps qui est vraiment assez frappant, tu vois c’est pour un site en fait là c’est un site be to be, en fait il cherche à vendre en fait du logiciel et c’est assez marrant parce qu’il me disait « oui c’est génial, on a mis le chat sur le site internet, ça nous ramène vachement de prospects super chaud, on est super content, bravo ». J’ai dit « ok très bien » puis on analysait donc les campagnes, les sources de prospect et puis donc le chat bam ça a fait exploser tout d’un coup leur source de trafic et les générations de prospects et puis je leur disais « mais oui on va investir plus de temps blablabla » et puis je leur ai dit « mais ok mais le chat c’est juste un outil en fait, c’est pas un canal de génération de trafic » et j’ai dit « ok mais d’où ils viennent ces gens là » et c’est vrai dans le chat ce qui est intéressant c’est que tu peux voir en fait quelle est la source d’entrée dans le site et finalement en faisant une petite analyse, on s’est rendu compte en fait que c’était le SEO que j’avais fait il y a quelques temps de ça qui avait ramené on va dire allez 1/3 des visiteurs après tu avais un peu de Facebook, tu avais un peu d’AdWords mais en fait pour eux, le canal qui générait du prospect c’était le chat, or en fait les vrais canaux qui généraient du prospect c’était encore de l’AdWords et du Facebook et c’était du SEO quoi. Donc en fait, il faut encore une fois, bien identifier d’où ça vient. Et par exemple, en SEO il y a quand même pas mal de chose. En e-commerce, je pense que c’est quelque chose qui est vraiment important à travailler, c’est pas simple parce que forcément, on a pas forcément le contenu, on a pas forcément le temps etc etc mais sur le long terme c’est quand même assez intéressant parce que le problème de toutes les techniques de PPC c’est que tu payes, tu payes, tu payes, tu payes et ben tu es toujours un petit peu à la merci de, ben enfin il faut toujours avec du budget, du budget, du budget, et le référencement naturel c’est quand même un investissement plus le long terme. Après bon il y a plein de choses, moi j’ai testé pas mal de choses en référencement naturel, j’ai testé des écrivains professionnels, des rédacteurs web à la fois en low cost et en vrai truc et c’est vrai que c’est pas facile d’avoir une bonne technique de référencement, il faut travailler donc bien sur les contenus, il faut travailler les liens, c’est du gros boulot, moi j’ai travaillé donc pour une boite là pendant trois mois faire de la création de contenu alors donc ça a porté ses fruits mais c’était quand un gros boulot pour générer du trafic et générer les liens quoi.
Olivier Clémence : Oui, et ben justement on parlait toute à l’heure de ton blog, qui a quand même des statistiques très intéressantes, voilà moi souvent c’est quand même un conseil que j’essaye de donner aux e-commerçants parce que je trouve que le blog a quand même beaucoup, beaucoup d’avantages pour un e-commerçant même si on est d’accord que l’objectif du e-commerçant c’est pas forcément d’amener du monde, c’est de déclencher des ventes mais voilà moi je leur conseille souvent de réfléchir si un blog ne serait pas intéressant parce que ça permet quand même de donner confiance aux clients, de faire du contenu régulièrement plus facilement que sur des fiches produits etc et c’est un importateur de trafic etc, toi alors déjà, tu blog très souvent, donc j’ai deux questions : qu’est-ce qui te donne envie de bloguer aussi régulièrement ? Qu’est-ce qui te plaît dans le bloging et tu disais que tu es capable de rédiger très rapidement, est-ce que tu as des petites techniques notamment en easy writing, à partager qui permettent de bloguer souvent sans non plus y passer un temps incroyable parce que justement les e-commerçants pourquoi ils n’ont pas de blog c’est pour deux raisons : 1, ils n’ont pas d’idées de ce qu’ils vont dire, et 2, ils n’ont pas le temps. Donc est-ce que tu as des …
Frédéric Cavenet : Oui, bien sur. Alors en fait, pour moi il y a grosso modo deux types de contenus sur un blog. Je caricature un peu, il y a plus que deux contenus, deux ou trois. En fait, le premier c’est le contenu SEO. Alors le contenu SEO, même si on en fait toujours un petit peu, on essaye de plus trop en faire, ça reste quand même ce qui marche pour générer quand on est sur une thématique qui n’a pas un gros, une grosse concurrence c’est à dire que ça marchera pas sur l’informatique, ça marchera pas sur je sais pas, les trucs comme moi, les produits de l’hygiène etc ça va être compliqué d’y être présent mais sur les produits un petit peu segmentés, le contenu SEO est vraiment bien. Un contenu SEO c’est un contenu qui est fait pour plutôt Google, c’est à dire qu’on va se positionner sur un certains nombre de mots clés, moi j’utilise plusieurs outils, bien sur tu as le Keyword generator d’AdWords, bon j’y reviendrais pas pendant des heures, mais tu as aussi Sem Rush qui est assez sympa. Ce qui permet en fait d’identifier… Comment ?
O.C : A propos, d’ailleurs j’ai vu ça il y a quelques jours, ils ont fait une mise à jour sur Keyword Planer de Google et on a plus vraiment les valeurs qu’on avait avant, je ne sais pas si tu as vu aussi…
F.C : Oui, donc en fait, c’est alors je rentre mon mot de passe, parce qu’en fait j’ai plusieurs comptes. Alors ça Sem Rush par contre c’est un produit qui est, comment dire, qui est, je sais pas si c’est mon compte principal, qui est payant et qui est un petit peu cher mais bon ça peut être intéressant. Alors là, si tu as une idée, aller on va taper rue du commerce, allez rueducommerce.fr, ça permet en fait d’analyser quels sont les mots clés qui sont les plus, hop, les plus, qui rapportent le plus de trafic sur un site internet, hop. Donc en fait là, il va te dire ben voilà, il te montre aussi les annonces AdWords des concurrents, là par exemple tu vois en display, à priori, il a réduit son budget display et là en fait tu peux voir les, hop, un peu long là, donc ici, tac, tu peux voir en fait, hop, je vais remettre tout de suite, là tu peux voir en fait les clics qui lui ramène le plus de trafic, par exemple ici c’est iPhone 6S, etc etc, bon là rueducommerce malheureusement c’est du, il y a beaucoup de mots clés donc en fait tu as, tu auras pas forcément des mots clés qui sont pertinents, sur un petit site e-commerce ça va être beaucoup plus intéressant. Là tu peux dire ça va nous sortir des ps4, iPhone, Stan Smith pas cher, tu vois ça c’est intéressant pour un e-commerçant de se dire « tient un mot clé qui est beaucoup tapé » ici tu vois tu as quand même 22 000 donc ça c’est la concurrence si je me souviens bien, tac, voilà, difficult donc ça c’est la difficulté à se positionner là dessus. Donc tu peux identifier des mots clés comme ça qui peuvent être intéressants pour toi, iPhone 5, 6S, c’est marrant qu’il y a encore des gens qui recherchent ce genre de mots clés, ça, ça doit être dans les 6 derniers mois, tu peux chercher sur d’autres périodes et donc c’est quand même sympa de se dire « tient quels sont les mots clés qui génèrent le plus de trafic chez mes concurrents ». A partir de ça en fait tu vas aller créer du contenu sur ton blog ou des pages sur ton site e-commerce ou des fiches produits avec ces mots clés. Par exemple, tu es dans Stan Smith, c’est des, je suis pas très mode moi, Stan Smith c’est des chaussures, je sais pas Stan Smith, je sais pas ce que c’est, oui c’est des godasses, donc en fait si tu vends des chaussures, tu vas dire que ben « je vais créer sur mon blog, une page qui va être, qui va se nommer Stan Smith pas cher » et là en fait tu vas dire ben « comment avoir des chaussures Stan Smith pas chères, ben la première chose c’est de les acheter sur internet, il y a à peu près X ou moins de pour cent par rapport à une boutique réelle. D’ailleurs si vous commandez via ce lien, vous avez un bon de réduction de 2€ sur le prix ou 5€ sur votre Stan Smith dans notre boutique, voici le lien pour acheter la Stan Smith, machin blablabla » puis derrière tu dis ben « Stan Smith c’est une vieille marque qui date de blababla, c’est super à la mode », tu rajouter une ou deux images, tu rajoutes une petite vidéo Stan Smith et voilà tu as un contenu entre guillemets SEO, c’est à dire que tu as un contenu qui est fait plutôt pour Google, qui est fait bien sur pour convertir parce que si tu crées un contenu et que tu lances pas un appel à l’action pour commander chez toi, pour s’inscrire à la newsletter si tu ne fais pas un truc ça ne sert à rien, il faut véritablement que cet article SEO soit fait pour ça. Alors donc cet article SEO soit tu le fais toi même, soit tu le fais rédiger par des rédacteurs. Alors tu as bien sur, text broker, tu as text master, qui existe et qui te permet en fait d’avoir des rédacteurs, par contre la qualité est toujours pourrave même si tu mets des étoiles assez importantes c’est souvent pourave, il faut vraiment faire gaffe et sélectionner des bons rédacteurs et tu as toujours une relecture à faire mais bon moi j’utilisais surtout comme brouillon entre guillemets. Je leur disais ben voilà tu prends un article par exemple en anglais, sur cette thématique là, tu vois traduit enfin je lui donnais 2-3 articles en fait sur par exemple, on va dire tu tapes Stan Smith, how to choose stan smith, ok, j’ai pas mis le bon orthographe, ça c’est un truc qui est, how to choose stan smith et là en fait, tu vois tu as 2-3 articles, stan smith super star, enfin voilà, tu envoies ces liens là sur text master ou text broker, text broker par exemple, voilà tu vas sur text broker, c’est à peu près une dizaine d’euros l’article de 500 mots et là en fait tu dis ben « voilà je veux que tu me crées un article de 500 mots sur le thème Stan Smith pas cher voilà et dedans tu vas devoir dire tel mot, tel mot, tel mot et pour t’inspirer » parce que généralement les mecs ils connaissent rien, « tu t’inspires de ces deux articles là sur comment choisir une Stan Smith dedans » et donc là tu as orienté le truc, t’as le site qui sera choisir une Stan Smith, tu as le contenu, toi tu rajoutes après ton bon de réduc ou ton truc et voilà tu as ton contenu tu as plus qu’à copier/coller, tu fais une petite mise en forme, tu rajoutes un image et tu peux en aller, un quart d’heure avoir un contenu important.
O.C : Est-ce que tu as déjà pratiqué à l’inverse, parce que voilà après chacun gère ça comme il le sent, mais c’est vrai qu’après comme tu le dis, la rédaction elle est pas forcément au niveau de ce que tu veux sur ton blog donc peut être que derrière tu es obligé comme tu dis, de l’utiliser comme un brouillon, est-ce que par contre, à l’inverse et moi c’est quelque chose que je voudrais faire, j’ai pas encore eu le temps de le faire mais je pense qui me fera gagner pas mal de temps dans la rédaction de mes articles, c’est est-ce que sous-traite parfois la recherche d’informations ? Parce que si tu n’y connais rien en Stan Smith par exemple, comme c’est notre cas à priori pour nous deux, et qu’on veut faire un article dessus, on va, peut être, passer plus de temps à trouver de l’info qu’à rédiger l’article et est-ce que …
F.C : C’est pour ça en fait que … alors après ça c’est du contenu SEO. Du contenu SEO, c’est du contenu un peu pourave faut pas s’attendre à des miracles, c’est pour ça que une bonne astuce c’est de prendre des contenus en anglais. Ne pas le traduire, c’est important parce que tu n’as pas le droit de faire traduire un contenu direct tu donnes au rédacteur des inspirations. Et moi à chaque fois je le dis, don’t copy, deux c’est peut être pas assez, moi généralement je donne 2-3 articles, trois au moins. C’est important de dire tu t’inspires de ça et donc un mec même s’il n’y connaît rien en Stan Smith, il est capable de faire un truc qui tient à peut être la route et bien sur ces articles là, SEO, il ne faut pas les mettre en avant sur son blog. Ma technique, c’est pas de les publier au jour même, mais tu les publies à peu près 3 mois enfin pas 3 mois, allez un mois derrière c’est à dire tu publies, tu l’antidates donc en fait les lecteurs réguliers ils le verront jamais mais par contre tu vas le tweeter sur ton compte Twitter ou sur un compte Twitter justement annexe, c’est à dire que tu vas pas le faire sur ton compte principal parce que tes lecteurs vont dire « mais c’est quoi cette merde ? » tu vas le mettre sur un compte Twitter ancien. Comme Google il scanne systématiquement tous les tweets qui sont faits, il va être référencé tout de suite et donc là tu auras ta page qui sera référencée et vue même si tu as publié un mois après. Donc ça c’est la première partie, on est bien d’accord c’est du contenu SEO pourri, tu ne vas pas avoir des miracles avec mais par exemple, moi je le fais par exemple quand les gens me disent « oh lala en SEO ça va pas, en SEO on n’arrive pas à générer beaucoup de contenu et on a besoin en fait d’être présent sur un certain nombre de mots clés rapidement ». Et là par exemple, je l’avais fait pour une marque, on a fait un article de blog tous les mois pendant 90 jours, donc 90 articles de blog qui ont été publiés pour se positionner sur des mots clés. Alors comme je le disais, si tu as du trafic, si tu as un truc qui est super concurrentiel, ne rêve pas les articles comme ça, ça ne marchera pas parce qu’il faut des liens depuis d’autres sites pour faire remonter ce genre de contenu là et je rentrerais pas dans le détail sur comment on fait des liens, on achète des liens, on fait des liens internes parce que c’est un peu compliqué, mais voilà là si tu es sur une thématique un peu précise, que tu as des mots clés, ça peut le faire. Alors, bien entendu, sincèrement le SEO ce n’est pas aussi simple que ça mais je montre un exemple, il faut bien sur avoir des pages principales et en dessous des mots clés secondaires qui pointent sur un mot clé principal. C’est vraiment de la technique à faire, ce n’est pas juste allez tac je vais produire des trucs tout pourris. Le deuxième point aussi pour le contenu SEO, ce que je fais beaucoup c’est l’inventaire de contenu. Alors c’est pour du commerçant parfois c’est un peu compliqué, parce qu’ils n’ont pas forcément un inventaire de contenu, sauf si tu es producteur. Si tu es juste un distributeur de produits grand public, trouver du contenu original c’est compliqué mais quand tu es, par exemple, fabricant, ben tu peux avoir par exemple des fiches produits PDF que tu as sorti il y a 10 ans, tu les scannes, tu fais un OCR, et après tu le récupères dans ton, comment dire, dans ton site web et tu peux créer comme ça du contenu. Alors c’est ce que j’appelle l’inventaire de contenu. L’inventaire de contenu, ça marche bien quand tu as une belle antériorité, tu as du contenu existant, tu es fabricant etc etc et là en fait tu peux produire comme ça, par exemple là les 90 articles, il y avait une, aller une bonne moitié qui venait de là en fait, même plus, qui venait en fait d’inventaire de contenu, qui est généralement du contenu de bonne qualité en plus. Donc ça c’est le premier truc. Le contenu SEO, on produit du contenu, après comme je le disais, il y a tout l’aspect liens etc interne etc etc, super important et je vais pas y revenir parce que c’est autre chose, et l’autre chose après, c’est exactement ce que tu disais, c’est l’article de qualité. Là l’article de qualité en fait c’est par exemple un guide d’achat. Je vais essayer par exemple, un point de vue sur un secteur, c’est une étude qu’on fait faire, c’est par exemple une infographie ou des choses comme ça dont le but en fait c’est pas d’être positionner forcément sur du mot clé, comme si on peut le faire, par exemple guide d’achat pour choisir tel truc mais le but en fait c’est d’avoir un contenu de référence qu’on va pouvoir faire buzzer et comme je le disais c’est le fameux process de buzz que je détaillais auparavant. C’est à dire que quand j’ai un super contenu, et ben par exemple je vais le relayer sur ma newsletter, je vais citer des gens qui sont connus dedans, des blogueurs, ça peut être aussi des gens qui, des magazines ou des choses comme ça, en disant « tient voilà j’ai relayé votre contenu », ça peut être des experts dans un domaine d’activité que j’ai interviewé enfin bref. Ce contenu d’experts doit être fait bien sur pour avoir vraiment un super contenu, mais après je dois prévoir la technique de promotion, comment je vais pouvoir attirer des gens derrière et comment je vais pouvoir le valoriser en utilisant différents canaux, différentes plate-formes, voilà. Alors par contre, c’est un vrai boulot, c’est du temps et comme tu le disais, les e-commerçants n’ont pas forcément le temps de le faire donc tu peux le déléguer à une personne comme un community manager, c’est possible mais après pour réaliser du super contenu, il y a plusieurs techniques. Moi par exemple, tu vois j’utilise beaucoup mon iPhone enfin c’est plus un iPhone maintenant d’ailleurs, c’est un Samsung et j’ai une application native, qui s’appelle tout simplement, l’enregistreur vocal, voilà enregistreur vocal de l’iPhone, tac enfin de l’iPhone, du SmartPhone. Donc en fait, moi quand je suis, en fait de chez moi au métro, j’ai à peu près 4 minutes de trajet donc en fait, ce que je fais c’est que quand je suis à pied et que je suis un peu en forme parce que parfois je suis un peu fatigué après ma journée ou le matin je pense à autre chose mais quand je suis en bonne forme en fait tu vois je prends mon téléphone et tac je parle et je dis « ben voilà, aujourd’hui on va parler de ceci, cela blablabla » et je déroule en fait une thématique en fait et je fais pareil avec certains de mes clients qui me disent « non mais j’ai pas le temps d’écrire un article » et ça je m’en rends compte, un e-commerçant normalement il a pas le temps, donc qu’est-ce que je fais ben j’essaye de le bloquer pendant une heure et pendant une heure qu’est-ce qu’on fait ? Je prends le téléphone, je le mets à côté de lui et je lui dis « ben voilà, alors tu vas me parler de comment choisir une paire de baskets Stan Smith ». Alors là le mec tout de suite, il dit « ben choisir une basket Stan Smith ben il faut faire ci il faut faire ça, blablabla » et voilà je lui dis ben voilà on fait ça pendant à peu près 2-3 minutes et voilà tu as un article, tu as plus qu’à le faire retranscrire en externe, tu peux encore utiliser des prestataires externes sur redacteurs.com, freelance.com ou fiverr.com et tu trouves un mec qui va te prendre ton audio, il va t’en faire un article et après tu as plus qu’à faire une certaine mise en page en fait de ton contenu. Et moi c’est ce que je fais pour tout mes gros articles maintenant, je ne fais plus de, enfin si je fais de temps en temps mais généralement ce que j’essaye de faire c’est que j’essaye de défricher le terrain avec de l’audio sur un contenu donc j’ai sur mon téléphone en fait ma prise de notes avec une structure et je me dis « ben tient je vais parler de ça, ça, ça , ça, ça » et puis après je parle et ensuite après je fais transcrire et j’ai un, j’ai vraiment ma trame et j’ai plus qu’à un peu à mettre en forme ou à mettre des trucs et ça me permet d’écrire des très gros articles en assez peu de temps en fait parce que en 7 minutes de paroles, tu peux en dire des choses.
Olivier Clémence : Oui et …
Frédéric Cavenet : Et surtout qu’il y a une structure. Il y a une structure qui est la structure des 7 W. C’est à dire que tu dis When, who, Why, Where, How, How much donc c’est qui, quoi, où, comment, pourquoi, avec qui, et combien grosso modo c’est toutes les questions classiques et quand tu réponds à toutes les questions dans un podcast normalement ben tu as épuisé le sujet.
O.C : D’accord, ok. Oui après moi pareil dans les moyens de faire des articles qui peuvent très bien marcher c’est justement ben tu as pu traiter et faire des petits articles, des vidéos, des petits podcasts sur des sujets donc tu as traité juste un sujet et au final, ben si tu as fait une dizaine de podcasts ben parmi ces podcasts, tu en as peut être 5 qui vont parler d’une thématique complète et il suffirait de les réunir, de remanier un petit peu le truc et tu as un article bien complet sur un sujet. Par exemple, je ne sais pas là on a présenté, tu as présenté des outils, dont certains sur les réseaux sociaux et à un moment tu peux faire récupérer tous les outils dont tu as pu parler dans des vidéos et expliquer comment gagner du temps sur les réseaux sociaux etc. Moi ça m’arrive de le faire et voilà un article que tu connais parce que tu l’avais partagé, c’est 29 outils SEO gratuits, au final j’ai tout simplement récupéré les outils que j’utilisais, les outils que j’ai déjà vu pas mal de fois, que j’utilisais pas donc j’ai testé vite fait et j’ai demandé, ben je t’avais demandé à toi et à quelques autres personnes s’ils avaient des outils et voilà. Et sur les 29 outils, j’ai du en chercher, moi même que je ne connaissais pas, j’ai du en chercher 5 quoi. Je les connaissais tous d’une manière ou d’une autre. Donc et cet article là marche pas mal et il est assez long et c’est vrai que du coup, il n’a pas été très long à rédiger en fait comme article.
F.C : Oui, c’est pour ça que c’est important de dire que tu as vraiment deux types de contenus. Tu as le contenu SEO pourri, qui marchouille encore, comme je le disais, faut pas s’attendre à des miracles, ce n’est pas avec un article de 250 mots que tu arriveras à te positionner sauf si c’est une expression à faible trafic. On a vu toute à l’heure, tu vois, avec rueducommerce, tu vois ici la difficulté du mot clé elle est ici, donc là tu vois si c’est dur ou pas et donc tu peux t’amuser comme ça à dire « ok sur des petits trucs je vais pouvoir faire quelque chose », sur des gros mots clés c’est un peu compliqué et à ce moment là tu fais plutôt un article de qualité, tu cites des influenceurs dedans, tu demandes un relais, tu vas sur Twitter faire la promo. Alors bien sur, Twitter, encore une fois pour le e-commerce, je ne suis pas persuadé que ce soit le meilleur outil. Les outils comme Facebook sont parfois beaucoup plus intéressants et sont souvent même plus intéressants. Il faut se méfier, comme tu l’a dis, il faut faire attention au temps. Les médias sociaux c’est bien, un blog c’est bien mais le cœur de business, tu l’a dis toute à l’heure, pour un e-commerçant, c’est de générer du prospect, du lead et le SEO, les médias sociaux, c’est plus sur le long terme. Par contre ce qui est bien, par exemple, tu as notre ami Rémi Bigot que tu connais, de la Fée corsetée, sa femme en fait elle est, comment dire, elle est dans le domaine des vêtements sur mesure, Fée corsetée, voilà. Elle est dans le domaine vraiment du sur mesure, de la valeur ajoutée, elle a peu de clients, blablabla, donc ce n’est pas le volume mais en fait tu vois elle utilise ça pour rencontrer ces clients. Tu vois « osez-vous venir à ma rencontre 13 au 31 octobre ? » je crois qu’elle fait un tour de France tu vois et elle montre en fait les coulisses de sa boutique, elle montre des réalisations, elle montre ces clientes qui sont super contentes, tu vois ça c’est un vrai, tu vois elle met de la vidéo native, elle a quand même 500 commentaires quoi. 500 commentaires, c’est énorme quoi, c’est énorme. Même moi tu vois je n’ai pas ce niveau là parce que moi Facebook je l’utilise plus comme un relais d’informations, elle Facebook elle l’utilise véritablement comme un, comment dire, pour avoir du lien avec ces clientes. Elle discute avec elles, elle parle avec elles, elle montre des réalisations, elle montre ces clientes, elle montre son atelier, tu vois c’est, ça c’est un bel usage, je pense que c’est un usage intéressant et à prendre en exemple pour un e-commerçant sur comment je vais faire ça. C’est vraiment, tu vois regarde ici en plus tu as des photos de mariages, c’est parce que c’est sa thématique à elle, c’est vraiment… c’est un bon usage.
O.C : Et voilà justement, l’exemple il est vraiment parfait parce que voilà faut vraiment tester et réfléchir où se trouve nos clients parce que autant toi comme moi, on a tous les deux une page Facebook. Moi elle est relativement automatisée et ce n’est pas ma stratégie pour l’instant mais de toute façon on sait pertinemment que nos clients ne sont pas vraiment sur Facebook. Il y a un côté, comment dire, personnel dans Facebook qui fait que le be to be, c’est pas vraiment la place du be to be et là justement au contraire, là on va parler de mariage etc les gens ont qu’une envie c’est de partager cette info là sur Facebook et du coup évidemment, elle a tout intérêt à travailler Facebook et une stratégie comme elle fait là où elle est proche de ces clients et d’utiliser Facebook pour ça. Et ben ça se voit que ça marche parce que j’ai vu elle a pas mal de fans et chacune de ces publications a quand même un bon résultat donc non non c’est clair que il faut…
F.C : Oui tu vois là par exemple, elle offre un cadeau tous les mois. Tu partages, tu likes, tu fais un machin bam tu as le droit à un petit cadeau. Elle peut offrir comme elle est productrice elle peut très bien offrir une broche elle peut très bien offrir un truc et là directement tac. Tu vois elle met du liant, c’est assez intelligent en fait réunit c’est vrai que là avec sa femme ils font un bon boulot, tu vois elle montre les tissus. Alors je sais plus tous les combien de temps elle publie mais tu vois c’est, tu rentres en fait dans l’intimité et puis tu partages la vie de la créatrice. En fait ça te permet d’humaniser une marque parce qu’en fait c’est une erreur que font souvent beaucoup d’e-commerçants et c’est vrai que, en fait ils veulent faire comme s’ils étaient une multinationale. Or, ce n’est pas ce qui faut faire. Les gens en fait, achètent pas à des machines, ils achètent à d’autres gens et c’est l’émotion qui déclenche la vente et c’est vrai que moi sur mon blog tu vois, en fait pendant longtemps tu vois mon blog, c’était une passion et tu vois j’avais comme objectif de dire « tient je vais créer le site et je vais le vendre un jour », parce que ben voilà, c’est pas mon métier quoi et puis en fait finalement c’est devenu une passion et il y a plein de gens qui me disaient « oui mais ConseilsMarketing vous êtes combien dans l’équipe ? » etc mais moi je suis tout seul. Et donc, j’essaye de m’humaniser un peu plus. Alors même dans les blogs et dans les fiches produits il faut essayer de mettre de l’émotion. Maintenant tu vois je dis pas « je » mais j’essaye quand même de le mettre de plus en plus, tu vois par exemple tu vois dans le dernier truc, j’ai dit « je suis, j’apparais dans une vidéo, machin etc » donc c’est essentiel d’humaniser et pas de vouloir faire la world compagnie parce qu’un e-commerçant qui fera ça, il va perdre tout l’humanité. Là par exemple, là dans la dernière ici là je dis « j’apparais dans le truc, je suis présent blablabla » donc c’est vraiment essentiel de faire ça. C’est vraiment important de montrer qu’on est une personne, qu’on n’achète pas à une world compagny surtout quand on est une petite boite. C’est vraiment, s’il y a une chose qui est importante à retenir c’est ça tu vois « Jordane d’osez briller vous me verrez dans le rôle du conseiller Pole Emploi blablabla ». Donc c’est vraiment important de faire ça, de montrer qu’on est une personne et sur tous les sites e-commerces, moi j’insiste vraiment les gens à montrer les photos de leur tête etc etc. Ça donne plus confiance déjà et puis c’est comme, c’est, tu achètes à des personnes qui sont en face de toi, plus que tu achètes des prix.
O.C : Oui et en plus quand on veut essayer de jouer directement, on va dire, dans la cour des grands, si on peut appeler ça comme ça, c’est qu’en gros on est tout petit et que en face on va vouloir se frotter à Amazon, Ebay, Cdiscount etc qui eux sont gros et si on veut voilà, avoir l’air d’être comme eux, malheureusement ça veut dire qu’on va les avoir en concurrence et que du coup, on va essayer de discuter, de s’exprimer comme eux, etc mais on a pas les mêmes moyens et on pourra pas lutter contre Amazon surtout quand on se lance au départ. Moi c’est ce que j’essaye de faire comprendre à pas mal de mes commerçants. J’ai une e-commerçante qui fait du personnalisé donc c’est des produits personnalisés pour bébés etc et le discours qu’elle avait au départ c’était « nous » et voilà on avait l’impression d’avoir…
F.C : Exactement.
Olivier Clémence : Alors qu’elle vend du personnalisé et pour moi ça va à l’encontre de l’idée de ces produits et de vendre quelque chose de personnalisé etc on a envie de savoir qui est derrière, que c’est cette personne là et que …
Frédéric Cavenet : Qu’elle est passionnée, qu’elle est à l’écoute, qu’on peut l’appeler et c’est exactement ça tu vois, comme on vient de voir avec la Fée corsetée, c’est exactement la même chose. C’est « je suis là, je suis une personne, vous pouvez me demander, ce n’est pas la world company, on n’est pas un atelier de 50, c’est je fais pour vous, je vous écoute, on passe du temps au téléphone blablabla ».
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O.C : Ok, super. Bon alors, du coup, on a parlé de tellement de choses que j’avais prévu des questions mais on a répondu à une bonne partie, du moins en partie. Alors je regarde rapidement ce que j’avais dans mes questions. Oui donc alors bon on a parlé rapidement sur les réseaux sociaux donc voilà pour toi, on est plus sur Facebook etc, tu nous as montré aussi un petit peu comment gagner du temps avec. Moi aussi j’utilise des techniques notamment Buffer en version payante aussi, permet de gagner pas mal de temps, moi je l’utilise comme ça. Est-ce que …
F.C : Moi j’utilise pas mal d’outils, tu as Buffer, tu as zapier qui est vraiment sympa, c’est un truc d’automatismes qui est, qui permet de relier plein de trucs à plein de trucs, qui bon après quand tu es développeur, je pense qu’un gars comme toi arrivera à tirer la quintessence de cet outil là mais rien que déjà en version gratuite, tu as plein de liens entre plein d’outils, entre un flux RSS et puis les comptes Twitter, Facebook, tu peux lier ça avec du slide, tu peux vraiment tout faire avec du mailchimp tu vois tu peux faire des trucs super là dessus. C’est vraiment un outil qui est super intéressant. Moi je l’utilise de manière simple mais tu vois tu as Buffer, tu as Deleverit, tu as zapier ces 3 trucs là ils te permettent de faire beaucoup de choses. Après tu as d’autres appli, tu as tweetdesk , tu as plein de trucs comme ça qui permettent de faire des choses vraiment intéressantes.
O.C : Qu’est-ce que tu fais par exemple avec Zapier ?
F.C : Avec Zapier par exemple je prends des flux RSS que je vais republier soit sur des comptes Twitter, des comptes LinkedIn ou des choses comme ça. En fait, tu as vraiment énormément de zap, enfin ce qu’ils appellent les zap c’est les applications et tu peux relier plein de choses. Tu peux, par exemple, quelqu’un qui s’inscrit dans une newsletter après tu peux après le mettre en fait une alerte ou un renvoie de messages X jours plus tard. Et vraiment super truc. C’est un vraiment bon outil alors après au bout d’un certain nombre de, alors attends, je me suis pas connecté, mais tu peux avoir plein comme ça d’automatismes, il peut te sélectionner par exemple les meilleurs GIF sur Giphy moi ça mettait un moment à arriver parce que j’avais besoin de faire des illustrations et que ça envoie tous les jours par mail les trucs qui sont des trucs partagés. C’est un truc qui fait des trucs automatiques en fait. C’est vraiment bien puis après si tu codes tu peux faire des trucs assez magnifiques là dessus.
O.C : D’accord, ok. Alors bon, j’ai une question, est-ce que tu vas pouvoir y répondre même si toi tu es quand même plus dans le b2b, mais bon tu as traité avec pas mal d’e-commerçants, si tu devais lancer un e-commerce aujourd’hui est-ce que tu pourrais nous détailler un plan d’action des premières étapes que tu mettrais en place pour … ?
F.C : Oui ben en fait déjà avant je vérifierais qu’il y a vraiment une demande, qu’il y a suffisamment de marge commerciale, qu’il y a pas trop de concurrence alors, tu peux différencier après, par exemple au lieu de faire le truc le plus large, tu fais le plus précis ou alors tu fais genre le deal du jour ou tu fais des boites enfin bref je vérifie vraiment déjà qu’il y a un marché et que c’est rentable et je vérifie déjà que j’ai les moyens de tenir 6 mois, 9 mois avec 0 revenus, parce que et des dépenses parce que ben le temps que le site se lance, le temps qu’on commence à générer un peu de trafic, de machin et tout, il faut pas se dire que comme c’est une boutique sur internet, ça coûte rien ou au contraire, ça coûte, comme dans le commerce physique enfin l’e-commerce c’est juste du commerce sur internet, quand tu lances une boutique, tu t’imagines pas avoir, commencer avec de quoi faire un mois. Il faut, tu as du stock, du machin et bidule donc en fait, il faut vraiment se faire attention à se dire que l’e-commerce, ok tu peux débuter en low cost mais il faut avoir un peu de finances, faut pas rêver. Donc déjà vérifier qu’il y a un marché, avoir un peu de finances, ensuite préparer l’arrivée de mon blog,enfin l’arrivée de mon site parce que le temps que je prépare l’idée, que je monte le site, les statuts, le machin, le bidule truc chouette. Donc j’achète le nom de domaine, je trouve un nom qui serait avec de l’émotion, un nom qui ferait un petit peu rêver qui serait segmenté, je chercherais pas à faire par exemple, « tout pour bébé » mais ce serait plutôt « le spécialiste de l’écharpe de portage » voilà je dis n’importe quoi mais faut bien sur qu’il y ait assez de volume et assez de marge dessus et je dirais ben voilà « chez moi vous allez retrouver les meilleures écharpes de portages, je les teste, je les montre », vous pouvez montrer les trucs en photo etc etc, donc et même si vous êtes sur Paris, tous les vendredis, je vous propose de se voir dans un café un soir, boire un petit verre et je présenterai mes produits etc etc, donc j’essayerai d’avoir un truc un peu différencié des autres, pas essayer de faire comme tout le monde et vraiment avoir une vision différente. Vérifier que je peux en vivre correctement. Donc je monte le blog, pour tout simplement commencer à créer une liste, je parle un peu du sujet, je me référence sur quelques mots clés et donc dès que je suis prêt bam, je bascule sur le site e-commerce normal, je garde le blog qui est derrière qui me permettra toujours de continuer à avoir un peu de ce référencement, cette notoriété. Ensuite, bien entendu, dès le départ je mets en place des techniques de PPC, AdWords, bien entendu, bon après pourquoi pas tester un peu du Bing aussi, why not, ça représente pas beaucoup de trafic mais bon voilà j’essaye d’avoir un petit peu tout ça. Bien sur, j’essaye de référencer les meilleurs produits sur les places de marché. J’utilise des outils pour automatiser tout ça, des shopping flux, des easy flux bon ça coûte aussi un petit peu d’argent mais bon ça permet de simplifier un peu le travail, parce qu’au début on fait beaucoup de choses en fait à la main et il faut être un petit peu, comment dire, ok au départ il faut investir un peu d’argent pour dire « ok ça va être plus simple après parce que je vais gagner du temps sur un certain nombre de choses ». J’essaye de me concentrer après sur des outils de génération de trafic pour m’amener du trafic à court terme. Alors je peux faire par exemple, il y a, moi j’ai déjà fait du sponsoring de newsletters, travailler en partenariat avec des gens qui ont déjà un trafic avec de l’affiliation, avec une newsletter par exemple tu peux faire une petite affiliation simple, tu vois t’essayes un peu de travailler là dessus pour générer du trafic à court terme et générer des ventes vraiment à très court terme. Et en même temps en parallèle ben je travaille un peu mon SEO. J’essaye après pourquoi pas de faire de l’événementiel, c’est à dire, ben j’essaye peut être de travailler avec des gens qui ont une notoriété là dessus, pourquoi pas imaginer faire du physique, dire que bien tient je dis « tient rendez-vous à tel truc, tel endroit pour se rencontrer » les gens aiment bien voir les gens avec qui on travaille et puis tu as les gens qui se déplacent, c’est vraiment intéressant. Donc après, en disposition après de promo sur promo, bien entendu, je mets en premier et ça c’est super essentiel, je mets en place une newsletter, même si les gens en fait ont toujours un moyen de récupérer les coordonnées, un guide d’achat par exemple autrement, comment choisir son écharpe de portage, ou 10 techniques pour son écharpe de portage et je le mets tout de suite en pop-up sur le site. Alors c’est, après faut voir si, enfin quand tu as pas beaucoup de monde, faut quand même essayer de mettre un pop-up ou alors mettre un chat ou un truc, en tout cas, au départ il faut créer une liste de prospects et je leur envoi après régulièrement des messages et mets en place en fait un auto répondeur, je peux utiliser Mailchimp, je peux utiliser Aweber, je peux utiliser GetResponse, je peux utiliser pleins de sites comme ça en fait, qui me permettent en fait d’aller envoyer directement des messages derrière aux clients. Voilà donc ça c’est un petit peu le départ, je surveille bien sur mes conversions, ça c’est vraiment essentiel, parce que je peux dépenser de l’argent et par exemple AdWords, ou Facebook Ads, typiquement, tu peux dépenser beaucoup d’argent et pas avoir beaucoup de clics donc il faut vraiment, pareil pour les places de marché, c’est la même chose, c’est essentiel vraiment de savoir qu’est-ce qui rapporte ou pas et c’est vrai que pour un e-commerçant au début c’est pas facile parce que ben il y a tellement de choses à connaître, à la fois en terme de logistique, de retour, de service client et en même temps de web marketing que c’est pas simple. Et moi je recommanderai d’essayer d’avoir un stagiaire avec soi au départ, parce que être tout seul c’est dur, on a bien sur souvent le soutien de sa famille et c’est un petit peu compliqué. Au départ, d’avoir un stagiaire, bon forcément on ne pourra pas le payer des millions, on va payer le minimum, d’avoir quelqu’un qui peut t’aider, qui peut te soutenir, c’est quand même pas mal au départ aussi parce que ben tu es un petit peu seul et tu as beaucoup de choses à faire et quelqu’un qui est là pour t’accompagner, ça aide beaucoup aussi. Puis après bien sur, rencontrer d’autres e-commerçants, ça aussi c’est essentiel parce que être entrepreneur, c’est partir à l’aventure souvent seul et moi je l’ai vécu, c’est vrai que tu es chez toi, tu as une masse, tu as une to do list avec un truc énorme à faire, puis tu as les priorités, tu as plein de trucs, tu as l’administratif, tu as ta compta, ton machin à faire. Donc bien gérer ses priorités, commencer le matin par ce qui est important, faire une to do list avec voilà « aujourd’hui je fais un truc qui est essentiel c’est ça, puis après je fais les deux trucs » et je commence par exemple par les, enfin après il y a les urgences toujours mais bon j’essaye vraiment d’exploiter vraiment mon temps, là dessus, mais de rencontrer aussi des gens extérieurs parce que parfois on reste coincé et squatté chez soi et puis on bénéficie pas de retour d’expériences d’autres personnes qui peuvent nous aider, nous rencontrer, d’autres entrepreneurs, passer une soirée des choses comme ça, sortir un peu du train train habituel et parfois mettre en place des partenariats, voilà.
Olivier Clémence : Oui, ben c’est un bon programme, il y a du boulot, mais je suis, globalement, complètement d’accord avec tout ça parce que voilà, un e-commerçant qui se lance, les e-commerçants qui ont pas vraiment encore réfléchi à leur, au lancement de leur site, en règle générale ils voient juste la création du site alors que c’est pratiquement rien maintenant. Moi je conseillerais presque maintenant, bon moi c’est Prestashop mais tu peux le faire avec toute forme de plate-forme, c’est de lancer un Prestashop, éventuellement de mettre un thème graphique et voilà. Et c’est vraiment pas le plus long, ni le plus cher, ni le plus compliqué de travailler le site. Et c’est vrai que tout ce que tu as dit avant, la préparation, l’étude de marché, tu en as pas parlé mais je pense que tu mets ça aussi dans l’étude de marché c’est définir ses clients. Voilà, tout ça, ça prend du temps, il faut le faire correctement et après le marketing derrière donc le comment amener des clients sur le site, c’est primordial et malheureusement les e-commerçants ont un peu de mal à se rendre compte de la masse de travail surtout au début. Après voilà, avec des techniques comme tu donnes, on peut automatiser pas mal de choses et regagner du temps, si on le fait dès le début c’est très bien, ça demande des compétences. La publicité aussi, moi il y a, j’aurais tendance à conseiller, quand on s’y connaît pas Facebook, AdWords tout ça, on commence à aller dans la pub, là on a hallucine un petit peu devant les formulaires et à chaque fois quand on va cliquer sur « ok », c’est de l’argent qu’on aura mise dedans et moi je conseille peut être de, enfin de faire, de décider en fait avant même de faire de la pub de prendre une formation, qui va nous aider et je pense que chose d’ultra rentable extrêmement rapidement parce que …
Frédéric Cavenet : Ah ben de toute façon, AdWords, clairement, tu ne peux pas faire appel à un spécialiste AdWords pour optimiser tes campagnes parce que moi c’est ce que je disais, si tu fais ça, appel à un spécialiste AdWords, il faut au moins claquer, au minimum, mais vraiment au minimum 2000 – 3000 € d’AdWords par mois parce que autrement ce n’est pas rentable. Le mec il va te prendre une journée, c’est minimum une journée, pour optimiser tes campagnes, donc tu ne peux pas faire appel, tu dois te démerder tout seul et là en fait, tu as une, tu as la chaîne AdWords France, bon moi je la recommande toujours parce que mine de rien en fait elle est quand même pas mal, si tu connais vraiment rien à rien, tu peux ici voir comment ça marche, les basiques et la chaîne officielle c’est AdWords France. Bon après il y a plein de vidéos, sincèrement ça fait, c’est, si tu regardes tout tu en as pour un paquet de temps, mais il y a des trucs assez sympa quoi. Pleins de vidéos.
O.C : Voilà, quand je dis se former, tu as des formations payantes qui peuvent être très bien, après faut essayer de bien la choisir. Après tu as pas mal d’infos sur, ou Youtube…
F.C : Ah sur le web oui.
O.C : Sur internet quoi.
F.C : Tu as aussi tutos.com qui est mal pour certains, comment dire, certaines thématiques. Alors par exemple, ils ne sont pas très bons malheureusement en web marketing, il y a pas beaucoup de, comment dire, de choses, c’est plutôt pour les graphistes mais en fait tu as un petit peu de trucs sur e-commerce, e-marketing, tient il était là. Hop, tu as un peu de truc, tu as un peu de formation qui sont pas trop chères, tu payes un truc 20-30-40-50€, tu as voilà, tu as, bon ça c’est un peu formation débuter avec AdWords tu vois, tu as des petits trucs en 2h30, tu as quand même des petits trucs, tu vas pas faire des trucs de folie là dessus, ils ont pas beaucoup de catalogues, dans le domaine, ils ont pas beaucoup de formations, c’est vraiment très orienté graphisme mais ça permet d’avoir au moins des bases quoi parce que le problème c’est que tu peux vite d’éparpiller. Mais de toute façon, ça devient très vite complexe. AdWords, le principe il est super simple et Google il fait tout pour que tu dépenses de l’argent. Mais après, d’ailleurs tient je recommande toujours d’utiliser AdWords Editor parce qu’il y a encore des gens qui connaissent pas du tout cet outil, c’est un outil gratuit de Google, qui permet en fait de gérer en off line, c’est à dire pas avec l’interface du site web, mais avec un logiciel à télécharger, et ça permet tout de suite de faire les modifs à la volet, ça fait quand même gagner pas mal de temps, voilà.
Olivier Clémence : Oui, oui j’avais utilisé et tu arrives plus à aller dans l’interface web d’AdWords quand tu utilises AdWords Editor, c’est un tare parce que ça va tellement plus vite que l’interface web d’AdWords elle est affreuse quoi. Moi j’ai …
Frédéric Cavenet : Mais elle est fait pour les débutants, ce n’est pas la même chose, l’interface web elle est faite pour les mecs qui ne connaissent rien. AdWords Editor, enfin s’ils mettaient ça sur le web, ça serait,les gens se diraient « wouah putain c’est compliqué ». Tandis que là les gens sur internet, même c’est quand même compliqué la version web mais bon voilà.
O.C : C’est assez compliqué oui. Moi j’ai un exemple de e-commerçant sur Facebook qui a investit, tu sais de la publicité, donc il avait commencé et puis il récupérait, en fait, il arrivait à récupérer ce qu’il dépensait simplement. Ce qui est déjà pas mal, parce que au départ, voilà…
F.C : Parce qu’il y a pleins de gens qui n’y arrivent pas.
O.C : Voilà, mais au départ, il était parti avec 100€ et puis après 200-300 et puis il est arrivé à pratiquement 1000€ par mois, sur Facebook, et le truc c’est qu’en fait, il s’était pas rendu compte que, enfin si il s’en était rendu compte mais ça avait pas vraiment d’intérêt parce qu’au final, il était toujours à 1000€ dépensés et 1000€ de gagnés en fait, alors qu’avant il était à 100€ dépensés, 100€ de gagnés …
F.C : Alors après il y a quand même une chose à savoir, c’est vrai que j’en ai pas du tout parlé. Là j’ai parlé rapidement de messages, d’auto répondeurs et tout ça mais pour moi, en fait, en e-commerce, donc bien sur il faut calculer son coût d’acquisition, enfin faut avoir une idée de son coût d’acquisition mais surtout en fait il faut se dire que tu fais ta marge à partir de la deuxième commande quoi, grosso modo, enfin ta marge, tu commences vraiment à gagner bien ta vie si tu arrives à faire recommander les clients. Donc en fait, c’est ça qu’il faut véritablement mettre en place, c’est se dire « ok je vends à un client mais derrière après » c’est pour ça que la liste est importante pour faire des promos, envoyer des promotions ciblées derrière aux clients. Les gens qui ont commandé, je ne sais pas, un bikini l’été dernier, je vais peut être leur proposer un nouveau bikini de la même marque ou d’une marque un peu différente l’année d’après. Les gens qui sont fans de Stan Smith et ben je sais qu’il y a une marque qui est un peu équivalente ou j’ai leur anniversaire, leur date de naissance, et hop je leur envoie un truc là dessus, donc la feed en e-commerce elle est essentielle parce que c’est vrai que comme tu as dis, il y a beaucoup d’e-commerçants qui se concentrent sur acquisition, acquisition, acquisition, et qui vont faire du Facebook Ads, font faire de l’AdWords non stop, or en fait leur base client est encore plus importante et je pense que c’est plus important encore d’essayer de vendre à plus de clients enfin plus à tes clients existants que non stop chercher du client non stop.
O.C : Oui, en fait l’acquisition ça devrait servir qu’à de la croissance en théorie et non pas à maintenir l’activité, à mon sens.
F.C : Malheureusement, ce n’est pas facile, il y a certains secteurs où tu as du mal à faire recommander les gens. Le bon de commande, le bon promo, le code promo peut fonctionner ou les bonus. Faut éviter aussi, il faut faire attention à sa marge vraiment, c’est ça qui est souvent le souci, c’est que ben la tendance facile, c’est offrir les frais de port, offrir du bon de réduc, et ben finalement après tu gagnes plus grand chose quoi.
Olivier Clémence : Hum, alors je voulais aussi te demander si tu pouvais nous parler de ton produit qui s’appelle la Star Marketing Academy, tu as envoyé un mail récemment à ta mailing list donc je l’ai reçu et c’est à partir de là que je me suis dit « tient pourquoi, pourquoi est-ce qu’on en discuterait pas ? ». Est-ce que tu peux nous dire ce que c’est et est-ce que c’est intéressant pour les e-commerçants justement d’aller … ?
Frédéric Cavenet : Alors, oui on en a parlé vraiment rapidement au départ. En fait c’est une formation de Growth Hacking, comme on dit, c’est en fait plein d’outils qui permettent en fait de gagner du temps, de générer du trafic. Alors c’est vrai qu’elle est plus génération de trafic, moins e-commerçants par exemple là j’explique comment faire du use jacking, voilà, comment faire une enquête ou un sondage pour générer du trafic, comment afficher des pubs et des trucs dans son blog, enfin c’est des petites vidéos, c’est une petite formation parce qu’en fait il y a plein de gens qui me disaient « voilà j’ai acheté des formations vidéos mais en fait, j’ai du mal à les mettre en applications » ou « c’est pas pratique » ou « c’est trop long ». Et en fait j’ai fait vraiment c’est les trucs astuces, tous les mois, tu as, allez 30 minutes, 1h de vidéo, et ben j’explique des trucs et astuces pour générer du trafic, pour améliorer la conversion, etc etc. Alors c’est une be to be et une be to see.
O.C : C’est applicable immédiatement du coup, une fois que tu as vu la vidéo, pas de besoin de regarder…
F.C : Ah oui oui, c’est que des trucs tu vois par exemple ce fameux truc là de, hop, de notifications, ça se met en place en 10 minutes. Le truc click metter dont j’ai parlé toute à l’heure, ça se met en place en 5-10 minutes. Donc j’essaye de donner vraiment des astuces qui peuvent se mettre en place rapidement et qui nécessitent pas en fait de suivre un cursus. Parce que souvent en fait les formations, les gens disent « oui j’ai regardé ta formation » et puis après tu as en application « ah oui j’ai mis en application 2-3 trucs ». Ah oui et pour toi ils disent « oui c’est bien mais bon oh je n’ai pas eu le temps, je n’ai pas ceci, pas cela ». Là le but c’est de recevoir tous les mois, une vidéo, enfin 2-3 vidéos, qu’on peut mettre en place super rapidement. Voilà, c’est ça le concept parce que ben je vois les gens ont plus le temps et comme ça en fait ça permet d’avoir quelque chose de simple. Alors pour l’instant le prix est à 9.90€ par mois donc ça veut dire que c’est vraiment rien, peanuts, ça va passer à 25€ là, j’avais dit que je le ferai jusqu’à la début Octobre, donc en fait ça passera après à 25€ pour recevoir des trucs et astuces et on s’arrête quand on veut. Donc voilà, c’est fait pour répondre en fait à des demandes de gens qui veulent des trucs et astuces. Alors par contre, on ne trouvera pas la dedans une formation complète à AdWords, on ne va pas trouver le référencement d’un site e-commerce de A à Z, c’est que des trucs et astuces, que des petites perles ou des petits outils que je trouve et qui permettent de gagner du temps, voilà.
O.C : D’accord, et donc l’idée c’est un abonnement, tu te désabonnes quand tu veux, tu dis c’est 9€90 direct si on abonne là.
F.C : Maintenant, oui jusque à peu près début Octobre, faut que je fasse en fait le changement, j’ai un petit script à changer pour changer le prix.
O.C : Oui, donc globalement c’est un peu ce que tu nous as présenté déjà depuis le début qu’on discute quoi, tout un tas d’outils, qui sont pratiques, faciles à utiliser et tu expliques comment l’utiliser.
F.C : Oui, le chat par exemple, j’explique comment ça marche le chat, j’explique comment avec un outil qui s’appelle Theme Trive on peut créer des landing page en 10 minutes, des trucs comme ça en fait. J’explique, par exemple, la dernière vidéo que j’ai montré, c’est assez marrant, ah ben je l’ai pas là, j’ai fermé la fenêtre, j’explique ce que c’est le news jacking, c’est à dire comment tu vas par exemple exploiter l’Amour est dans le pré ou Koh Lanta ou le truc des chants The Voice Kids, comment tu vas pouvoir utiliser un peu le trafic qui est généré sur Twitter, sur ces événements là pour capter un peu de trafic. Par exemple, je l’ai fait encore pas plus tard que Lundi, parce que ma femme adore l’Amour est dans le pré et donc comme on regarde ensemble, tu vois moi ça me passionne pas plus que ça mais je génère à peu près à chaque fois 200-300 visiteurs sur mon site, en mettant un peu de contenu, en surfant sur les hastags et tout ça. Donc c’est voilà, j’explique un peu comment faire et dès que tu as en fait sur Twitter et, alors comme je disais Twitter c’est pas forcément la plate-forme la plus intéressante pour un e-commerçant parce que c’est pas grand public, etc etc, mais bon ça me prend 10-15 minutes en regardant la télé et j’exploite en fait donc justement ces fameuses tendances et surtout ces émissions où il y a beaucoup de monde, où il y a genre 50 000 – 60 000 personnes qui tweet là dessus, qui passent en fait voilà Le mondial de l’auto qui va arriver bientôt, ça tu peux dire ben tient mondial de l’auto, je peux dire tient j’ai du contenu sur mon site sur le mondial de l’auto et je vais surfer sur cette tendance là en fait. Il y a quelques techniques comme ça que j’explique, vraiment simples, qui ne prennent pas beaucoup de temps et qui permettent de capter du trafic.
Olivier Clémence : Oui et d’ailleurs ça c’est un truc que les gens ne savent pas forcément, si on est pas un peu au courant de comment ça fonctionne mais justement ce que tu dis au niveau des émissions de télé et l’interaction avec Twitter, moi j’ai regardé je ne sais plus quelle émission de télé, je sais plus ce que c’était et justement de temps en temps « ben hésitez pas à partager sur Twitter » tout ça et du coup j’étais allé voir sur Twitter et j’avais calculé qu’à peu près toutes les 10 secondes, il devait y avoir 30 tweets qui apparaissaient sur 1h30 d’émission, c’est assez impressionnant. Et du coup c’est vrai que si tu arrives à utiliser ça à ton avantage, ce n’est pas une source de trafic sur le long terme mais sur le coup, tu peux décrocher quelques visites, quelques clients, et ce n’est pas très compliqué à faire parce que ça va te coûter un tweet quoi.
Frédéric Cavenet : Oui voilà tu vois là, j’ai regardé une vieille pub que j’avais sur les bagnoles, et là en fait, bon normalement là je vais un truc simple qui est pas le plus évolué mais donc là je vais prendre un petit hastag, ça s’appelle mondialauto, ok mondialautoParis parce que c’est celui qui est plus tapé, voilà et « et vous votre voiture ? », alors faut que je tape parce qu’en fait on est en train d’enregistrer l’écran, « voiture elle sent ça aussi », j’essaye d’engager en fait le lecteur, tac. Donc toi tu as le droit à une formation live. Je vais après, aller regarder ici, tu vois sur le Mondial de l’auto, quels sont les comptes qui tweet le plus parce que tweeter comme ça dans le vide, moi je dis Twitter c’est comme si tu envoyais un SMS à tout le monde et à personne. S’il y a personne qui regarde ce que tu fais ça ne sert à rien. Donc en fait je vais essayer de regarder des gens qui ont beaucoup de re tweet alors là il y en a 2 ça suffit pas. Mondial de l’auto, il y en a combien ? Je ne suis pas farcie, en fait ce qui m’intéresse c’est de trouver des comptes où il y a beaucoup de re tweet, on va essayer d’en trouver un. Là il n’y en a pas beaucoup pour l’instant, là il y en a un peu plus ici, Renault ZE oui mais bon ce n’est pas tout ça, hop hop hop, Mondial auto, là je cherche un re tweet ce n’est pas suffisant pour moi parce qu’il faut que je trouve un compte où il y a vraiment de l’activité, s’il n’y a pas d’activités, ça m’intéresse pas. Là c’est peut être un peu mieux.. Je vais quand même essayer de trouver un compte, 26 voilà, Volkswagen France, bon ça c’est pas. Oui ce n’est pas, je vais, peut être, essayer de trouver un truc un peu plus Rétromobile parce que bon, tu vois Cars Passion voilà, parce que Volkswagen France ils vont jamais, ils vont jamais en fait re tweeter ce que j’ai fais par contre Cars Passion c’est un truc sur les passionnés de bagnole, allez tac, moi la bagnole, ça m’intéresse pas plus que ça mais bon, allez tac. Donc Cars Passion tac te je vais aller ici télécharger ma petite photo, parce que là j’ai une, hop, je vais mettre quoi, qu’est-ce qui est plus drôle ? je vais mettre celui là tient, tac, je vais enregistrer l’image sur mon bureau, donc là tu vois c’est le news jacking en live, bien sur il faut pas le faire juste une fois faut le faire plein de fois mais là je vais le faire juste une fois, tac donc voilà il va uploader l’image « et pour vous votre voiture elle sent quoi ? », « et vous dans votre voiture, ça sent quoi ? ». Comme ça on engage les lecteurs, « et vous dans votre voiture ça sent quoi ? » parce que j’ai tendance parfois à aller trop vite et hop et à réécrire le truc donc tu vois je mets le hastag, je mets un site qui, enfin un compte Twitter qui est, qui est bien actif, voilà et donc c’est parti. Donc tu fais ça 3-4 fois et 3-4 fois ou plus sur du contenu que tu as sur ton site, une fiche produit, par exemple un produit original, ou un article de blog, ou un truc dans le genre et bam tu essayes de capter du trafic parce que tu espères que Cars Passion il va re tweeter ton truc, que les gens qui sont passionnés par le Mondial de l’auto soient intéressés par tout ça, d’accord ?
O.C : Et pour le coup, toi voilà évidemment le tweet…
F.C : Là je n’ai pas traqué tu vois j’aurais du, tu vois je n’ai pas pris le bon réflexe j’aurais du le traquer par click metter et comme ça j’aurais su le nombre de personnes qui ont cliqué là dessus et j’aurais su après combien d’abonnés à ma newsletter j’aurais eu grâce à ça.
O.C : Ah oui c’est vrai que c’est assez puissant du coup, parce que tu vas savoir exactement le tweet qui t’a ramené des inscriptions.
F.C : Exactement, le tweet alors après je ne vais pas aller jusqu’au tweet, je vais plutôt aller jusqu’à la campagne. Je vais faire une campagne qui s’appellera news jacking Mondial de l’auto et donc je vais dire « ben tient j’ai fait par exemple 3 tweets qui sont avec une URL qui est à peu près similaire ou différente » et puis voilà quoi et puis c’est plus pratique comme ça. Voilà, voilà.
O.C : D’accord et là pour le coup, toi c’est un truc sur la voiture etc donc il y a pas forcément, enfin il y a peu de chance quand même que ça t’apporte beaucoup de trafic ciblé mais c’est vrai que une personne, enfin il y a énormément d’émissions …
F.C : Mais dans le be to see oui c’est différent.
Olivier Clémence : Voilà, si tu vends du matériel de cuisine, tu peux faire ça pratiquement tous les jours de semaine vu le nombre d’émissions de cuisine qu’il y a quoi. Et je pense que ça peut carrément être une stratégie.
Frédéric Cavenet : Ben en fait une stratégie, ça prend du temps, il faut vraiment y réfléchir un petit peu. Il faut qu’il y ait du volume, si tu n’as pas de volume, si tu n’as pas, tu vois là si mes tweets ça commence à bouger un petit peu mais il faut qu’il y ait du volume, si tu n’as pas de volume, ça sert à rien et puis surtout faut engager les comptes Twitter et être visible, donner un petit peu d’humour et des choses comme ça quoi.
O.C : Et voilà, comme on disait, si tu utilises un outil qui te permet de traquer tout ça ben tu le sais assez rapidement.
F.C : Ben tu vois la regarde déjà j’ai eu un like, tu vois Joaquin Dettmann a aimé votre tweet alors bon c’est un tout petit compte, malheureusement tu vois il y a 0 tweets, un abonné, mais bon c’est pour te dire tu vois il y a deux minutes, tu vois ça a donné déjà quelque chose. C’est un exemple de news jacking quoi.
O.C : Ok. Bon et est-ce que tu as d’autres projets à venir dont tu voudrais nous parler, que tu as prévu ?
F.C : Je suis débordé, là je vais écrire un bouquin en fait sur le Growth Hacking donc ça va être un bouquin qui va sortir aux éditions Dunod on va dire en Mai prochain donc je vais co-écrire ça avec 2-3 personnes et donc ça va être un bouquin où je vais donner encore pleins de trucs et astuces comme celui là, en fait pour générer du trafic sur le web.
O.C : Ok, ben c’est cool, il faudra que tu me préviennes parce que je pense que …
Frédéric Cavenet : Je t’enverrai un exemplaire dédicacé par l’auteur !
Olivier Clémence : Ça sera avec plaisir et je pense que tu auras gagné une critique sur mon blog, il y a de grandes chances ! Ok ben écoutes, merci, on peut dire que tu n’es pas avare en conseils, c’est super agréable, je pense que les e-commerçants vont avoir du pain sur la planche. Écoutes, je te remercie, je pense qu’on va pouvoir arrêter là.
Passionné d’e-commerce et de SEO, je suis le créateur du site reussir-mon-ecommerce.fr. Depuis plus de 15 années, j’aide les e-commerçants à développer sainement leur entreprise. Et si je ne suis pas devant mon écran, c’est que je suis derrière ma batterie à jouer du rock ! !
Article dix fois trop long et rempli d’autosatisfaction.
Côté concret (il ne faut pas oublier que je suis là à cause du lien « Découvrez dans cette vidéo toutes une série d’astuces que Frédéric utilise pour générer du trafic facilement et rapidement. »), je n’ai rien lu, si ce n’est que d’un côté les questions servaient la soupe et de l’autre, ego et autopromo s’étalaient sur mon écran.
Encore un titre d’article pour faire du bruit et qui se termine en pétard mouillé !
Le web est rempli de types méga connus d’eux-mêmes et qui génèrent du trafic en promettant aux autres de faire du trafic, parce qu’ils pensent que ce type soi-disant méga connu en fait.
Mais il le fait sur du vide, comme d’habitude.
Rien de nouveau dans le monde virtuel. Tout le monde peut s’intituler roi du Net…
J’espère que mon commentaire critique sera validé… merci
Salut Olivier, merci pour ce contenu très intéressant. Je pense vraiment l’appliquer pour ma prochaine mise en ligne de ecommerce & blog et merci Frédéric pour le partage de tes Stratégies ;-)
@ Dominique L. : Désolé que vous n’ayez rien appris.
Cela s’explique peut être par le fait que le sujet était la génération de trafic via le contenu (via un blog, via les media sociaux…), sans faire de focus sur la génération de trafic dédiée eCommerce.
Concernant la durée, c’est la transcription d’1h30 de discussion, donc forcément la retranscription intégrale contient un peu de « gras ».
Cependant j’espère que ceux qui sont intéressés par le sujet découvriront quelques bonnes astuces, car cela fonctionne très bien pour moi ;D
Bonne journée et bonne lecture à tous !
Merci pour tous cette vidéo, très intéressante. ça me donne plein d’astuces . Le chat par etc, pour avoir des adresses, savoir pourquoi les gens ne commande pas, savoir où est le problème. Très bonne idée.
Bonjour Romy,
oui en effet le tchat est un excellent moyen de faire du suivi et de mieux comprendre les points de « frictions ».